C'était la fin des vacances d'été, et Élisabeth avait plus que hâte de rentrer chez elle. Oui Élisabeth considérait que Poudlard était plus chez elle plus que le manoir Zabini. Retrouvez Hermione, Ron et Harry, c'était sa famille.
Ces jours avaient été tous plus sanguinaires que les autres, ses bras étaient couvert d'égratinures ainsi que ses jambes et ses mains, qui étaient en sang le jour d'avant.
En arrivant à la gare elle voulu s'éloigner vite de sa famille, mais avant qu'elle ne puissent partir la main de sa mère pris son poignée brutalement et la traîna vers un coin isolé en vue de personne.
-Écoute moi jeune fille, tu vas avoir de bonnes notes cette année et tu reviendras pour les vacances de Noël, tu as intérêt de te tenir à carreaux. cracha sa mère
-Oh ne vous inquiété pas mère, je deviendrais la risée de la famille et je le ferais avec plaisirs.
Elle préférait être insolente avec elle que d'être un vulgaire pion manipulable.
Mais elle regretta presque aussi vite qu'elle l'avait dit quand elle sentit une douleur sur sa joue. Elle l'a toucha légèrement et remarqua quelques gouttes de sang couler. Ce qui signifiait une nouvelle cicatrice en approche. Surement les ongles de sa génitrice qui s'était accroché à sa peau.
-Sale petite insolente.
Puis elle s'approcha d'elle et chuchota :
-Un jour je te ferais regretter d'être né.
Ellie déglutit légèrement savant que sa mère tenait ses promesses, surtout pour elle.
Quand elle pû enfin s'échapper elle ne s'en priva pas et entra enfin dans le train. Elle se dirigea vers la cabine habituelle qu'elle occupait avec ses meilleurs amis.
Elle entra et remarqua qu'ils étaient tous présent. Elle afficha un grand sourire comme à sa grande habitude. Un sourire qui assurait que tout allait bien.
-Ellie !! s'écria Hermione en la voyant
Elle la serra rapidement dans ses bras sachant qu'elle avait atrocement mal.
Ses amis étaient tous au courant pour sa situation familiale. Elle ne l'a jamais voulut mais ils s'étaient vite rendu compte qu'en troisième année elle n'était pas juste "tombé".
Même si elle souffrait du au touché physique de la jeune Granger, elle l'empêcha de partir en continuant de la serrer fortement contre elle, heureuse d'être enfin là.
Quand elles se séparèrent Hermione vit sa blessure à la joue.
-Oh, Ellie vient je vais te soigner. soufflait elle d'un air attristé
-Merci 'mione.
Cette dernière voulu lui attrapait délicatement son poignée, mais remarquant les ecchymose sur celui la, elle ne put s'empêcher de grimacer mais ne fit aucun commentaire.
Hermione avait l'habitude de la retrouver comme ça en rentrant des vacances, alors elle avait toujours des pansements et du désinfectant dans son sac.
Elisabeth s'assit en face d'elle et à côté d'Harry. Après avoir désinfecter Hermione s'apprêtait à mettre un pansement des plus banal mais Ellie se recula vivement.
-Ah non, hors de question que je porte ça sur ma figure.
-Ellie ne fait pas l'enfant et approche.
-Non, non, non..
Mais Harry avait déjà pris ses épaules et sa tête pour ne pas qu'elle ne s'échappe.
Elle avait beau eu se défendre, elle se retrouva avec un joli pansement sur la joue.
-Vous me le paierai. grommela-t-elle en regardant mal ses deux amis
-Mais oui bien sûr. se moqua le brun
Et ils reprirent leur conversation, pendant que la jeune Zabini elle, les délaissa pour dormir un petit peu. En effet Elisabeth était reconnue pour être insomniaque, elle n'arrivait jamais à dormir à moins de 3 heures du matin, et les joins qu'elle fumait à longueur de journée ne l'aidait pas tellement, enfin ils l'aidaient mais pas pour les insomnies en tout cas. Et surtout que si elle dormait vers 23 heures ou plus tôt, elle se réveillait en sursaut et en sueur à cause d'un cauchemar des plus horrible.
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Hey nouvelle histoire
Je vais pas me focaliser sur celle là pour l'instant donc attendait vous à avoir les chapitres moins fréquemment que 𝐀𝐥𝐨𝐧𝐞
Il est petit ce chapitre et je suis pas franchement fan mais bon-
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𝐓𝐡𝐞 𝐠𝐢𝐫𝐥 𝐰𝐢𝐭𝐡 𝐭𝐡𝐞 𝐫𝐞𝐝 𝐞𝐲𝐞𝐬
FanfictionElisabeth Zabini vivait dans le déni. Elle c'était habité à ce sentiment. Le déni. Il était facile à vivre. Grâce au déni elle vivait sans ce dire qu'elle était addicte à ces petites gellules, dont elle adorait le sentiment quand elle en prenait. Ce...