Explications ?

703 46 5
                                    

Après cette, très, brève information, Noshiko avait demandé ce qui avait retenue si longtemps les trois Hale loin de Beacon Hills. Elle n'avait obtenue qu'un « Rien de grave. » murmuré dans un grondement. Sachant que plus d'informations la mènerait à en dire d'avantage sur son sujet à elle, elle n'en demanda pas plus au loup.

Restant une dizaine de minutes pendant lesquelles elle renseigna tout de même sur ce qui c'était passé dans le coin lors de l'absence des trois lycans, lorsqu'elle quitta le loft, elle glissa discrètement une lame de ses queues dans le fond du sac à dos de l'humain et une qu'elle coinça sous le canapé du loup. Ce dernier n'ayant prit la peine de la raccompagner à la porte comme tout bon hôte aurait dû faire. Mais on parle de Derek Hale, alors elle n'était pas du tout surprise. D'autant plus que ça lui permit de les mettre tout les deux sous sa surveillance !

Bien qu'elle doutait que sa surveillance leur évite ce qui risquait d'arriver. Elle espérait juste que la fin de l'histoire ne serait pas trop dramatique. Ce qui risquait fort désagréablement de se produire vu qu'ils leur tomber toujours des trucs grave sur le coin de la tronche à cette meute !

Vraiment, elle va finir par croire que Beacon Hills est une ville maudite par le surnaturel !

Ou que la ville attire tout ceux qui ne lui veulent pas du bien... Ce qui était sans doute vraie en fin de compte.

Elle avait entendu une discussion entre Lydia et Stiles. Ce dernier évoquait le fait que le chasseur Argent avait parlé de courant tellurique, qu'ils entouraient Beacon Hills. Ils attiraient les êtres mystiques comme des papillons devant une flamme. De ce qu'elle avait comprit, étant loin là ce moment, et occupée elle même par l'apprentissage de sa fille avec son affiliation à la foudre.


Le lendemain, lorsque Derek se réveil, alors couché dans le lit de son oncle, c'est pour entendre chantonné en dessous lui. Ayant reconnu la voix enjouée et rapide de Stiles – bien que ça ne pouvait être que lui au vue de la veille – il grogne en se rendant dans sa chambre. Qui embaume l'odeur cotonneuse et acidulée de l'humain... Il hésite à refermer la fenêtre qui a été ouverte, mais il rejoint simplement la salle de bain, l'expression étrangement détendu.

Comme si, tout ses matins étaient comme ce matin-ci.

Comme si c'était normal.

Naturel.

Et c'est l'esquisse d'un sourire qui disparaît derrière l'entre-baille de la porte.

Une vingtaine de minutes plus tard, il apparaît au bas de l'escalier, fraîchement lavé et habillé. Son ''invité'' est à la cuisine, en train de faire la vaisselles. À priori, il a fait comme chez lui et s'est fait le petit déjeuné.

Ce qu'il est agaçant cet ado ! Aucun sens de l'espace personnel et de la propriété !

Pourtant, le loup ne dit rien et s'avance vers l'humain, dans le but de ce faire son café. Mais à peine est-il entré dans la pièce ouverte sur le salon qu'une tasse fumante surgit devant son nez.

Hey Big bad wolf, bien dormit ? Il lui attrape une main pour lui faire prendre la tasse qui embaume l'air de caféine. Ce n'est pas moi qui t'ai réveillé, hein ? Se détournant de lui, comme son instinct inexistant de survie le lui fait faire, il tourne le dos au loup, retournant à sa vaisselle. Parce que bien que j'ai fait attention à ne pas faire de bruit, je sais que tu as dû entendre tout ce que j'ai fais depuis que j'ai ouvert un œil. Quoi que peut être pas, t'avais l'air vachement fatigué hier soir.

Derek n'écoute que d'une oreille ce qu'il continue à soliloquer. Bien qu'il sache que Stiles laisse toujours passer des info importante dans ses blablateries inarrêtable.

A travers les âges, le temps s'effaceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant