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J'étais toujours autant sur le choc que surpris. Elle semblait pétrifiée, perdue, etonnée. Pour un retrouvailles nos sentiments étaient les mêmes. Elle fuyait mon regard. Je donnerai tout pour qu'elle me regarde comme auparavant, qu'elle me dévore du regard comme au bon vieux temps. Elle jouait avec ses doigts frénétiquement comme elle le faisait à notre premier rendez vous. Elle semblait paniquée... J'aimerais tellement la rendre dans mes bras et lui dire à quel point tout son être m'a manqué mais c'est peine perdue, elle doit me hair présentement.

-Bon...bonj

-boujour charif dit elle avec une telle acidité dans la voix

-karole tu

-évitons ces longs débats inutiles s'il te plait

-karole tu m'as manqué et je suis

- charif, dit elle avec une telle froideur

elle avait à peine fini de prononcer mon nom quand l'une des secretaire fit son apparition...

-rebonjour monsieur le directeur , dit elle en minaudant ... Quelle culot!

je lui fis signe de main en réponse avec un faux sourire banane avant qu'elle ne déserte les lieux

-je suis désolé monsieur. Je me présente Karole kounde chargée d'etre votre assistante personnelle. Karole venait de placer une barriere entre nous.

Je ne crois pas q'uelle me laissera l'oppotunité de m'expliquer un jour.

karole Kounde

je venais de prendre ma pause à midi...Tout ce remu ménage m'a donné un creux. Aujourd'hui je mérite une fière chandelle car je n'ai pas coulé de larme devant cet homme qui m'a pris tout ce que j'avais... J'étais assise à la meme tableque certains de mes collègues mais j'etais ailleurs

-comment le trouves tu karole?

Cette question poignante que venait de me poser carmen me sors de mes pensées.

- oh qui ça?

-tu vois ce que je disais carmen cette tete de mulle etait encore sur ses nuages? Dit marc en rigolant

- encore penssive? Me churchota carmen en prenant ma main à l'insu des autres.

J'ai juste envie de lui dire tout ce que je ressentais, de pleurer toutes mes peines et mes douleurs, lui dire combien de fois il m'a détruit, lui dire que malgré cette blessure que je crois toujours fraiche et ouverte j'ai apprécier le revoir ce mtin, lui dire à quel point ma vie était devenue merdique, lui dire que tout ce sourire et bonne humeur que j'affiche n'est qu'illusion.

- oh pas tellment carmen j'étais juste distraitte et je m'en excuse, alors de qui parlez vous?

- du boss, cet homme a tellement l'air charismatique, sexy, beau, élégant et sûr de lui... Avouais yasmine, la secretaire qui minaudait pittoyablement devant lui quand nous etions dans le couloir.

-J'avoue qu'il a de la prestance et du charisme...Ca c'est un patron digne de son nom

- je ne vous cache pas que si je n'étais pas mariée je lui sauterai dessus, renchérit tania

tout ces commentaires positifs à l'endroit de celui a su me donner goût et dégoût à la vie me rend mal alaise que je pars me cacher dans les toilettes afin de pleurer un bon coup....

Charif balogoun...

Elle évitait de trop durer dans mon bureau quand elle y venait pour me rendre compte de mes obligations envers d'autres partenaires de travail. Elle est restée strictment professionnelle durant toute la journée, elle changeait de mine quand elle était en ma présence... Elle a tellement changé depuis lors..

quatres ans plutot....

-bébé arrete, dit elle en gigotant dans tout les sens

- ca va t'apprendre de me piquer mon steacks petite chippie de mon coeur, dis je en continuant de la chatouiller

- promis je ne le referai plus cha ...AH bébé je vais etouffer de rire

je venais de la lâcher ... Elle reprenait ses esprits... toujours aussi belle avec ses traits de visage si fin. jolie taille et forme de guepe, elle m'avait seduit physiquement et m'a conquit avec ses manières... C'était la bonne femme pour moi, je n'en trouverai pas meilleure. Je me mis à l'admirer. Nos regards ne se détachaient point. Elle avait ce regard qui enflammait tout mon être. D'un simple regard elle arrivait à m'en dire tellement... Je ne pu m'empecher de l'attirer contre moi avant d'inscrire un doux baisers sur ses lèvres quin'appartenaient qu'à moi...Elle me regardait avec tant d'amoiur et tant de désire. Nos corps se sont lancés dans un combat de plaisir par la suite. Elle savait prendre les devants. J'étais aux anges quand elle se déhanchait vigoureusement sur le petit bout d'homme que j'avais. Elle ne cessait de me dire à quel point elle m'aiamait et que toute sa vie elle n'aimerait que moi. je la sentais perdre le noir de ses yeux... Elle ne tardera pas à se languir de plaisir et moi de meme. Nos corps se mis à feu pendant quelques instants puis nous arrivames tout les deux au plaisir incommensurable.

-je t'aime charif, dit elle en plongeant son regard de tigresse dans le mien

- je t'aime karole...

Aujourdh'hui....

karole KOUNDE...

je venais de faire eruption dans ma noble demeure, jeter mon sac dans le canapé et m'y affaler fut mon premier reflexe . Petit appartement de deux chambres un salon situé à fidjrossè...j'y habite avec ma soeur. Celle ci revenait souvent tard à cause de son travail à la radio. Je me sentais souvent seule.

Ce soir ma tristesse est encore plus grande, je me sens perdue que les autres jours. Pourquoi lui? J'aurai tellement préférée ne plus le revoir...il a brisé tout ce que j'avais de bien...il a brisé mon coeur et ma personne....pourquoi Dieu me laisse t'il vivre ces périodes sombre de ma vie? Pourquoi ne pas m'oter de ce monde. Je n'en peux plus. Mes larmes ne se privaient pas de couler àgrand debit... Je n'avais plus de force.... les gens ne voient que la fausse moi mais en vrai je souffre tellement. La douleur physique n'est rien comparement à la douleur émotionnele et ces derniers jours je l'aibien comprise... Je me rappelais de nos doux moments passés ensemble, de nos projets, de nos baisers aussi langoureux les uns que les autres, de ces fois où pour un rien on se boudait pour enfin se calmer après une bonne partie de se sex, de cette fois où nous avions aménagé ensemble, de cette fois où il m'a connu sexuellement, de cette fois où j'ai fais la rencontre de sa mère et de sa soeur. Pourquoi tant de bonheur gaché par lui...Je donnerai tout pour ne plus avoir à m'en souvenir... Je fini par m'endormi dans le canapé...

Ce matin j'avais les yeux enflés, surement à cause des larmes que j'ai coulé hier soir eh zut...Je n'ai guère envie de me rendre au boulot mais en meme temps je n'ai pas le choix...Je m'avance nonchalement vers ma chambre quand je croise un homme de la trentaine dans le couloir... Il me fit un sourire flasque, que je lui rendit, avant de sortir de l'appartement. Ca doit etre un des coups de soirs de florianne...en parlant du loup, la voici s'avancer vers moi...

-hey petite soeur tvas bien?

j'hoche la tete pour lui dire oui

- tu as l'air horrible ce matin sans te vexer

-c'etait qui?

- A ton avis?

j'avais deja compris à demi mot.









seconde chanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant