STANDING FROZEN. |L.s - traduction.|

//chapitre 1//

«N'oublie pas d'être poli avec chaque personne que tu rencontres maintenant, compris Louis? Tu ne peux pas faire une mauvaise impression lors de ton premier jour dans une nouvelle école, nous sommes d'accord?,» Mark Tomlinson sourit amèrement en fixant la cravate de son fils, veillant à l'envelopper étroitement autour de son coup. Il regarda la pomme d'Adam de son fils aller de haut en bas, signe que Louis est nerveux. Mark suppose que c'est une bonne chose que Louis soit nerveux, ça le rend silencieux et le silence de Louis est à la foi ce qui provoque moins de problèmes.

«Oui papa,» répond Louis, mordant l'intérieur de sa joue alors que ses yeux ne rouleront pas comme comme ils le font habituellement. Pas quand son père le regarde comme il le fait. Le look est plus familier que ce qu'il ne devrait être, mais Louis ne peut se résoudre à prendre soin de tout. «La cravate est un peu trop serrée,» marmonne-t-il, ses doigts essayant de tirer dessus de sorte à ce qu'elle ne coupe pas sa respiration, mais il se crispe quand son père gifle sa joue, en remettant la cravate comme avant.

«Elle est très bien comme ça, arrête de jouer avec.» Mark enclenche, donnant à Louis son sac de cours,

«Maintenant, pas de conneries amusantes une fois que tu y arriveras, tu m'entends? Nous ne pouvons pas faire les mêmes choses que nous avons faites avant, nous avons tous vu comment cela c'est terminé,» se souvient-y-il, «Tu ne voudrais pas savoir ce qu'il se passera si l'école m'appelle encore. Aller, c'est ton premier jour, essaie au moins de ne pas tout gâcher à nouveau. Va dire au revoir à ta mère.»

Heureux de ne pas avoir eu à faire face à son père plus longtemps, Louis court vite à la cuisine, où sa mère se trouve entrain de nettoyer les plaques de leurs petit déjeuner, «Maman...,» dit Louis doucement en bondissant et se cachant dans les bras de sa mère. En dépit d'être assez aventureux et indépendant, comme un enfant Louis a toujours eu un coup de faible pour sa mère, il a toujours su qu'elle pouvait le faire se sentir mieux, «Je ne veux pas y aller.»

«Je sais que tu ne veux pas, bébé. Je sais,» Jay -sa mère- soupire dans son oreille caressant son dos d'une main et jouant avec la main de Louis de l'autre. Peu importe combien de propriété de l'école il va détruire aujourd'hui, elle sait qu'elle ne sera pas en colère contre lui ; elle le comprend. Louis a probablement été changé de trois école quand il était petit, ne lui laissant pas le temps de créer une véritable amitié stable avant qu'il ne soit expulsé. Jay était sûr que tout allait bien avec son petit garçon, Louis était juste incompris et personne ne l'a jamais vu pour ce qu'il était vraiment à l'intérieur. Ou le fait que Louis n'a jamais voulu montrer son vrai "lui" à d'autre personnes. «Aller boo, tu vas être en retard pour l'école. Amuse toi d'accord?,» elle sourit l'encourageant, «Je t'aime.»

«Je t'aime aussi maman,» Louis presse un bisous sur sa joue avant de sortir de la maison, fermant la porte afin que sa mère puisse comprendre combien il est triste et combien il est en colère contre son père. Sur la route, avec son nouvelle uniforme scolaire. Au moins dans sa précédente école, ils ne devaient pas porter ces vêtements de merde chaque jour ; ils avaient même un uniforme spéciale à cette école privée où ses parents l'ont envoyé. Il frissonna à la simple pensée de parler avec l'un de ces gosses.

L'école en elle-même est agréable ; bien que Louis pense qu'il ne se fera probablement aucun amis à tout moment, pas qu'il le veuille actuellement - Il y a beaucoup d'endroit qui attendent à être découvert et à être utilisé comme l'échappatoire de Louis quand il aura l'intention de sécher une classe, parce-qu'il le voudra, pour être sur. Alors qu'il marche dans les couloirs pour sa première classe ce jour-là, il veille à ce que ses mains soient protégées dans ses poches, comme si il ne portait pas ses gants de tout façon. Il est content que se soit encore l'hiver il a le temps de réfléchir à ce qu'il va donner comme excuse sur le pourquoi il porte des gants en été. Louis soupire.