Les ennemis amoureux (Mikey x oc)

31-

Et je pars.*

Je vais donc visiter.

Alors que ma balade se passait sans accro, un gang me tombe dessus, tous vêtus d'une longue veste blanche et d'un pantalon blanc.

...: Tu fais quoi ici toi ?!

...: T'es sur le territoire du Black Dragon !

...: T'es une pute du boss ?!

...: Dégage salope !!

Je ris légèrement face aux insultes que je reçois.

Moi: Les Black Dragons alors ? Ils ont bien changés...

Un jeune homme blond avec une cicatrice au visage vient me prendre par le col.

...: Je sais pas ce que tu veux mais dégage avant que j'te tabasse.

Moi: C'est tellement décevant...

Je lui fous une droite qui le met au sol. Un gars avec les cheveux noir tiré d'un côté se précipite vers le blond.

Il me dit quelque chose, où est-ce que j'ai vu ce garçon blond ?

...: Espèce de salope, comment t'as osé toucher Inupi !!

Moi: Haaaa, voilà!! C'est ça !! Ton nom c'est Inui Seishu, autrement appelé Inupi !

Inupi: Comment tu me connais ?

Moi: Voyons Seisei !! Tu ne me reconnais pas ?

Inupi: Non, je ne sais pas qui tu es. Et ne m'appelle plus jamais comme ça. Il n'y a qu'elle qui en a le droit.

Moi: Oww. J'ai mal à mon petit cœur.

...: T'es qui ?

Moi: A toi l'honneur.

...: Kokonoi Hajime.

Moi: Loa.

Koko: Et donc, Loa, pourquoi viens tu ici et tabasse notre second ?

Moi: Hé bien ton gang m'a interpelé et Seisei m'a contrarié.

Koko: Dégage. Le boss ne fait de cadeau à personne. C'est un conseil que j'te donne.

Moi: J'aimerai bien le rencontré moi, votre boss.

Koko à l'air surpris et Inupi m'analyse.

Inupi: Dis moi, Loa n'est pas ton vrai prénom.

Moi: Nan, c'est un surnom pourquoi ça Seisei ?

Inupi: Dis moi ton vraie nom.

Oula, il est plus que sérieux.

Moi: Ne cherche pas trop Inupi, c'est bien moi.

Ses yeux s'écarquille et il court vers moi.

Koko: Inupi, qu'est_ce que-

Inupi: C'est elle Koko.

Seishu me prend dans ses bras et me serre fort, très fort. Il murmure pour qu'il n'y ai que moi qui entende.

Inupi: Ne pars plus, je t'en pris...

Je ressers mon étreinte sur lui et soudain un grand gars vient me soulever par le col. Mes pieds ne touchent plus le sol. Le gars me retourne vers lui et me regarde.

...: T'es qui toi, j'te connais pas.

Moi: J'te connais pas nan plus et pourtant j'te porte pas dans les airs.