Les ennemis amoureux (Mikey x oc)

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Moi: On en a pas finit Keisuke Baji, tu me dois des explications, espèce de con.*

Je descends rapidement les voitures et arrive au niveau de Kazutora qui était à genoux par terre entrain de répéter "C'est de sa faute".

Moi: C'est  rare mais t'es plus fêlé que moi, mon pauvre petit.

Kazutora: C'est de sa faute.

Moi: Quand j'te parle tu me regarde !

Je le prends par le col et le surélève. Il me donne un coup de poing dans la joue qui me fait tourné la tête.

Je sens vite un goût métallique dans ma bouche et crache le liquide.

Je relève doucement la tête avec un sourire collé au visage.

Moi: Tu ne sais clairement pas qui tu viens de frapper.

Je le repose par terre et lui mets mon higt kick. Il est propulsé sur plusieurs mètres et je marche vers lui. Hanma viens vers moi les bras ouvert.

Hanma: Héhé, Loa, tu ne peux pas t'en prendre à quelqu'un de ton gang sinon c'est de la trahison.

Moi: Ferme ta gueule, j'suis pas d'humeur.

Hanma: Parle mie-.

Son mot à peine commencé qu'il était par terre, un filet de bave coulant sur le sol.

Moi: J'AI DIT TU LA FERME!!!

Je reprends ma marche vers Kazutora et lui remets un coup de pied dans les côtes. Cette fois ci il est tombé devant Mikey.

Celui ci d'ailleurs me regarde, les yeux écarquillés.

Moi: Dégage, tu me gênes.

Je m'adressais à Mikey. Mais il ne bouge pas.

Mikey: Calme toi, Loa.

Moi: Tu veux que j'te bute aussi ?

Il me regarde dans les yeux, sûrement à essayer de voir une once d'émotions mais c'est fini, je suis vide et commence à voir noir.

Moi: Dégage. Maintenant.

Il prit peur et se décale.

Kazutora était inconscient.

Moi: Tu vas pas te faire tabasser en étant inconscient crois moi.

Je lui fous un coup de poing monumentale et il se réveille.

Moi: Bon retour parmi nous le fautif.

Je m'assois sur lui et le martèle de coup.

Baji: LOA !!

Je m'arrête d'un coup.

Kei ?

Je me retourne vivement et le vois descendre les voitures.

Mikey: Baji...

Chifuyu: Baji, arrêtes de bouger !!

Il descend les voitures comme des marches en ignorant le fait de saigner comme une fontaine.

Moi: Quel con tu fais.

Il arrive à mon niveau et je me lève pour être face à lui.

Baji: Merci de t'être énervé pour moi mais je ne mourrais pas de ce coup de couteau.

Moi: Evidemment t'es bien plus résistant que ça.

Il me sourit. Son sourire si doux et bienveillant. Ce sourire que je veux voir chaque jours, ce sourire qui me calme, peut importe la situation, ce sourire, mon préféré.