Soul angels

Chapitre 1: Mona Lisa.

Jeudi 2 mai 2024.
Italie, Toscane.

Une jeune femme était avachie sur la balustrade de son jardin. La femme, âgée d'une vingtaine d'année habitait une petite maison au bord d'immenses océan verdoyant. Des étendus d'herbe a pertes de vues.  Elle avait le teint clair, facile a pigmenté, Des cheveux noir comme l'onyx, long et lisse comme La chute du saut de l'ange. Elle le regard sombre et envoûtant, cachant au creux de ses paupières la nuit la plus profondes. C'était selon son père la plus belle fille de toutes l'Italie. Un tel compliment aurait pu lui faire plaisir mais, elle savait que ce n'étais pas objectif venant de son géniteur. Elle avait eu a la chance d'hériter d'une puissante intelligence. Et son prénom se plaçait aux antipodes de son tempérament, elle qui était plus réservé et muni de modestie. Une femme qui sait qu'elle n'est et ne sera rien de plus qu'un pion d'échec sur cette toile. Ses parents l'avait prénommé paradoxalement : Narcisse, Narcisse MORRETI.

C'est quand l'envie de boire lui prit qu'elle quitta sa balustrade, là où elle aurait pu y rester encore indéfiniment. Elle s'avança vers la porte d'entrée, écarta les franges de la décorations extérieurs et ouvrit la porte. Dans le salon, qui allié un style moderne et rustique, ses parents faisaient machinalement la paperasse. Son père avait eu le droit, après trois ans dans le même cabinet d'avocat a sa prime de meilleur employé. Mais comme un cadeau ne vient jamais sans mauvaise nouvelle, son père se retrouve muté en Australie, plus précisément a Sydney. C'est ce qui les obliges a vendre de la maison, elle qui tient tant a sa mère. Narcisse ouvrit le frigo, a la recherche de quelque-chose de frais. Rien, rien d'autres que de l'eau et deux trois olives qui se disputaient dans un bocal mal refermé. Narcisse attrapa la bouteille et un verre et s'en versa. Apres avoir bu elle rompit le silence.

- C'est pour quand déjà ? Demanda t'elle.

- Si tous se passe bien et comme prévu je devrais partir le 8. Répondit son père le regard perdu dans les biens de la maison.

- Le 8 Mai ? Mais c'est mercredi prochain ! S'exclamât-elle en tapant bruyamment d'un coups sec son verre sur la table a manger.

- Je sais Narcisse mais toi et t'as mère vous allez me rejoindre. Juste le temps de vendre la maison et nous seront de nouveau réunis.

Narcisses avala cette douces mythomanies de travers. Elle savait que c'était faux, qu'elles ne le rejoindraient pas. C'est derniers temps une haine mutuelle c'étais immiscé aux milieu de leurs draps conjugales. Ses parents était mariés depuis plus de trente ans et jamais en ces longues années de vie communes leurs liens n'avaient été aussi fragile. Eux qui était auparavant fusionnelle était devenu deux funambule sur une corde prêtes à rompre. Ils s'enfermaient dans leurs rancurs communes et nourrissaient ensemble une animosité meurtrière. Mais tous ca a empiré quand sa mère a retrouvé son mari dans les bras d'une autres, ils batifolaient dans les draps conjugales et c'est elle qui c'était immiscé entre eux. C'est après ça qu'il a eu sa mutation, comme-ci il fuyait ses problèmes pour noyer sa trahison. Alors elle savait qu'il mentait et qu'il partirait en Australie sans elles.

Narcisse prit son téléphone et envoya un message a son ami de longue dates, lui priant de venir afin de lui parler. Elle n'avait pas encore pris le temps de lui annoncer la nouvelles. Santo habitait a deux pâtés de maison, c'est tous naturellement qu'il arriva vingt minutes après la réception du texto. Elle le prit dans ses bras et tous deux partirent dans sa chambre. C'est là-bas qu'elle le lui expliqua.

- Non arrête tu déconne ? Lui demanda t'il abasourdie.

- Malheureusement non. Si mes parents disent vrai on devrait partir prochainement vivre en Australie. Et crois que l'idée de quitter mes proches et mes repères ne m'enchante pas.

- Mais Narcisse tu as plus de vingt ans, vingt-trois plus précisément, tu n'est pas obligé de les suivre. lui répondit-il.

- Pour aller où? Chez toi? Avec tes parents très particulier et t'as frangine qui scrute déjà tous mes fais et gestes jalousement? Tu le sais Santo que tu es le seul ami proche que je puissent avoir et digne de confiance.

- Je le sais mais je veux pas me faire a l'idée que la seul personne proche de moi partent vers d'autres horizons sous prétexte que ta mère est cocu. Tu ne trouve pas ça précipité toi?  

- Si tous ça est parti sur un coup de tête de mon père. Mais tu sais aussi également que dans toutes cette histoire je n'ai pas vraiment mon mot a dire. Malheureusement je dois me taire et accepter leurs choix et leurs actes. La seul hypothèses envisageables ça serait la cavale

Santo regarda attentivement Narcisse. Il avait vue en elle bien des sentiments, mais pour la première elle semblait vide. Comme-ci tous cette histoire lui avait parasité ses émotions les dévorant de l'intérieur.

- Si c'est la seul solution possible tu devrait peut-être l'envisager. Je sais que c'est plus facile a dire qu'à faire mais tu n'en a pas marre de te plier aux dires de tes parents, Narcisse?

- Je peux te retourner la question, Santo. Toi tu dois non seulement écouter tes parents et suivre l'exemple de t'as sur qui est si parfaite a leurs yeux.

- Tu n'as pas tord.

- On aura cas partir en cavale a deux? Lui proposa t'elle avec un haussement d'épaules significatives.

- Tu est folles?! Si jamais mes parents me retrouve tu pourra allez en Australie car ils m'auront dézinguer.

Narcisse ne cacha pas ça déception.

- Ecoute si jamais je prend la décision moi aussi de prendre mon envol je t'enverrai par message: ange. Mais pour l'instant j'appréhende. Narcisse, tu sais ce qu'on c'est toujours dit toi et moi. A la vie

-  A la morgue