Soul angels

Epilogue.

Lundi 12 février 2024.
Centre ville de Tours, Cathédrale Saint-Gatien.

C'était une agréables journée d'hiver, une journée fraiche et ponctuer de l'odeur douce de la pollinisations des fleurs printanière. Sur les routes comme sur les pavés une légère couche de gel brillait des reflets torrides du soleil. C'était le milieu de la journée, l'astre pointait notre ciel de c'est rayon a midi. Sur un banc, un homme était assis. Il nourrissait les pigeons avec les reste d'une baguette. Il restait solitaire sur son banc, ignorant les passant aux alentours. L'homme, avec son costard blanc et son Panama assortit avait l'air d'un mafieux. Pourtant il avait les traits faciales d'un ange. Le teint pâles comme givré brillait lui aussi sous les reflets du soleil. Il avait les yeux d'un bleu abyssales. Un regard profond qui scrutait du coin les volatiles qui se délectait de la mie poussiéreuse sur les pavés. Il était installé ici bas, en face de la Cathédrale Saint-Gatien, perdu ailleurs dans ses pensées comme-ci il attendait quelqu'un ou quelque-chose.

Les heures défilèrent, les passants déambulaient, et l'homme ne bougeait pas d'un pouces. Comme paralysé par le temps il continuait a gaver les pigeons de son pain rassis. La nuit se leva, laissant le soleil au chômage, donnant le flambeau a sa cousine la Lune, qu'il était toujours ainsi sur le banc. Même les pigeons ont finit par partir vers d'autres horizons, surement là où le pain étais plus frais. Puis minuit arriva doucement. Pour la première fois il releva la tête vers les murs éclairés de la Cathédrale. Comme-ci quelqu'un allait y sortir, il se releva et avança doucement sur les pavés. Etrangement, les portes s'ouvrir théâtralement. Une vive lumière blanche s'en échappa comme-ci le Paradis baignait de sa pureté le sol terrestre. Une silhouette sombre et fantomatique contrasta entre le lourd bois des portes de la Cathédrale. Elle semblait s'avancer vers l'homme, lui qui se figea au pied de la première marche. C'est une voie fine et angélique qui transperça le calme de la nuit. Une voie presque divine comme-ci Mozart joué de sa plus belle partitions.

- Nous t'attendions. Dit elle calmement. As-tu fais ton choix ?

L'homme acquiesça d'un revers de la tête. Il regarda la silhouette de ses yeux bleus, une larmes nacré sur les pommettes. La silhouette écarta ses bras comme pour accueillir l'homme pour lui faire son tous dernier câlin. Il gravit les marches, se sentant de plus en plus léger. L'homme prit la silhouette dans ses bras tandis que les portes de la Cathédrale se refermaient replongeant les pavés dans l'obscurité...