Chapitre 2: Les nymphéas.

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Santo et Narcisse avaient passés la soirée a discuter de tous et de rien, se rappelant par moment les bons souvenirs qui avaient fini par ternir sous une couche de poussière. Ils se connaissaient depuis leurs plus petites enfances. Leurs parents mutuelles étaient de très bon amis eux aussi a l'époque. Des fois ils se demandaient si le passé avait été autrement est-ce qu'ils serait nés et amis actuellement. Le père de Narcisse avait rencontré sa mère lors d'une après-midi où ils était disponible car il avait terminée toutes ses partielles. Depuis tous jeunes son père savait qu'il souhaitait donné la justice aux plus démuni ce pourquoi il s'inscrit des la sortie du lycée, rendant ses défunt parent fier, a l'université de Bologne. C'est grâce au père de Santo qu'il lui présenta sa futur épouse avec qui ils donnèrent naissance a une magnifique fille: Narcisse. Sa mère, plus lunaire, pris des cours a la Florence Classical Arts Academy. Depuis son plus jeune âge, Narcisse se souvient des nombreuses peintures que sa mère avait pu faire. Sa mère était doué dans tous ce qui pouvait toucher de près ou de loin a l'imaginaire tandis que son père lui étais quelqu'un de plus terre à terre.

Le temps s'écoulait de plus en plus, de même que leurs estomac creusaient un fossé de famine en eux. A à peu près vingt-trois heures, Santo et Narcisse quittèrent le lit douillé pour allez voir de quoi grignoter. Sans surprises en arrivant dans le salon, ses parents était parti ce coucher. C'est dans un placard qu'elle trouva une boite de gâteau sec. Narcisse prit un gâteau dans le paquet, le croqua, puis une fois l'avoir fini elle demanda a son ami:

- C'est quoi la chose la plus improbables que tu aimerai avoir en t'as possession?

- Personnellement, et sans vouloir te flatter, c'est toi. Tu m'as apporté tellement de chose dans ma vie que je peux que t'en être redevable. Mais sinon je dirai le pouvoir de devenir invisible. Le plaisir que ça serait de pouvoir disparaitre pour pas que m'as sur espiègle mes moindres fais et gestes.

- A mais qu'est-ce que je peux te comprendre. Son comportement oppressif à augmenter le jour où elle à appris que tu était gay. Comme-ci elle flippait de quoique ce soit.

- Elle as toujours eu ce caractère d'une fausse protectrices. Quand j'était gamin je me rappelle qu'elle voulait que je lui montre mes potes pour qu'elle m'autorise à les voir. Après elle jouait le rôle que ma mère n'as jamais eu avec nous trois mais de là a carrément jouer la carte du chantage c'est trop.

- C'est vrai que ton grand frère est parti très vite de chez vous. Il devient quoi maintenant?

- Adrianne est passé ingénieur chef pour Apple. Il vit à Toronto avec sa femme et son fils. Et sinon ca serait quoi toi le truc le plus improbables que tu aimerait avoir?

- Je sais pas. Bêtement je crois que je te répondrais des nymphes. Je me rappelle toutes les heures que ma mère a passé a essayer de reproduire fidèlement Les Nymphéas de Claude MONET. A l'époque on était en sixième, et chaque soir quand je rentrais elle était dans le salon, les volet abaissés et peigner une unième c'est fameuses nymphes. Elle étais douée et je trouvais ça sublime mais chaque fois quelque-chose ne lui plaisait pas et elle recommencée.

- C'était la belle époque finalement. Nos seuls soucis était nos tables de multiplication.

- Oui. Et c'est à la même période où on avaient adopté notre chien. Des fois notre labrador me manque. Je me demande où il est, si il est toujours vivant, si il a de nouveau maitre et surtout pourquoi il c'est échappé? Bref il se fait tard moi je vais allez dormir, Santo.

- D'accord. T'inquiète depuis le temps je connais la sortie. Bonne nuit Narcisse.

Elle se leva de sa chaise, regarda son ami sortir de la maison et alla se coucher. Elle se mit dans sa couette et regarda le plafond. Elle arrivait encore à apercevoir les marques qu'avait laissé la trainée d'étoiles phosphorescentes que ses parents lui avait offert il y'a de cela dix ans. Perdu dans ses pensées elle tomba brusquement dans le mondes imaginaires des rêves. Rapidement les étoiles phosphorescentes laissèrent places a une grande étendue peu profondes. Il ne devait y avoir que cinq a dix centimètre de profondeur ce qui n'empêchait pas aux grenouilles de croassé et de barboter. Une reproduction irréelles des Nymphéas. Elle se releva de l'eau et regarda les horizons. Autour d'elle, se dressait d'imposantes cimes d'arbres en un arc de cercle presque parfait. C'était un lieu bucolique et féérique. Au loin un détail attira son attention. Ca ressemblait vaguement a un voile noir qui flottait au grés du vents, ligoté sur l'une des branches d'un arbre. Narcisse décida de s'approcher pour voir de plus près ce que cela pouvait être.

En s'avançant, l'atmosphère semblait s'épaissir et s'assombrir autour d'elle. Les arbres perdaient leur feuillages peu à peu, l'eau clair et alcaline devenait de plus en plus marécageuse, les nymphes laissèrent leurs places a des roseaux sombres et les croassement des grenouilles se changea en craillement de corneille. De loin ce qui semblait être un voile noir était en fait le corps d'une femme qui c'étais pendues a cette branche. Effrayer, Narcisse tomba dans l'eau, elle qui était auparavant peu profonde était devenu abyssales. Et elle s'engouffra rapidement sous des centaines de milliers de litres d'eau...

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⏰ Dernière mise à jour : Nov 22, 2022 ⏰

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