Lena & Tom (Titre Provisoire)

Chapitre 8 : Résiste

Dans une de mes anciennes vies j'ai du être quelqu'un d'horrible pour vivre autant de chose dans celle ci . Revoir à nouveau Tom va m'être difficile . Je me retrouve devant sa porte d'entrée. J'ai mon estomac qui se noue, je tremble et j'ai les mains moite. Ma gorge se sèche et mon coeur bas si vite. Je lève la main et décide de frapper à la porte, ma main droite commence à peine à s'approcher de la porte que je stop nette . Je vais pas y arriver . Je ne peux pas, Je reste planter là . Qu'est ce qui m'empêche de lui dire de me foutre la paix ? .... C'est pas si compliqué . Tom je t'en prie laisse moi vivre une vie simple et tranquille . Tire toi de ma vie . C'est simple . Je laisse poser ma main sur le bois, je repose également ma tête et ma main glisse jusqu'à mon visage . Mes larmes coules, je suis stupide, stupide, stupiiiiiiiiiiiide ... Je n'y arriverais jamais . Je dois partir. Mon courage disparais en un claquement de doigt . Une voix dans mon dos me fait sursauter :

-" Léna si tu veux que j'ouvre la porte premièrement toquer ne sert à rien car je suis derrière toi et deuxièmement décale toi que je puisse ouvrir s'il te plaît"

Je m'exécute illico, il rentre dans son salon et lui emboîte le pas . De peur qu'il tente que que se soit je parle la première .

-" Tom, je ... (mon cœur se serre, je prend une grande respiration ) Écoute, c'est simple notre histoire fait partie du passer. Nous n'avons plus d'avenir, et je dirais même qu'on n en a jamais eu . Tu as était mon coup de cœur d'adolescence .. Et pour moi c'est finit. Tu ne représente plus rien à mes yeux . Arrête de me harceler. ( Il s'assoit et sort une cigarette, son odeur menthe poivré avec un soupçon de tabac froid me déstabilise ) Il faut que ca cesse, Tom il suffit. Laisse moi m'en aller. Je suis très heureuse . Je suis avec quelqu'un d'incroyablement talentueux, gentil et beau je ne veux rien de plus . Je ne veux rien te concernant . Laisse moi tranquille, fou moi la paix . Notre enfance fut merveilleuse, mais on se leurré, c'était un univers de Bisounours que nous nous étions créé . Maintenant c'est finit . Adieux . "

Je tourne les talons, et tente d'ouvrir la porte. Il a du se lever très vite car je ne l'ai pas vu arriver. Son dos collé au mien, son bras droit bloque la porte au dessus de ma tête, de sa main gauche caresse délicatement ma colonne vertébrale visible grâce à mon dos nu . Il frôle le bijoux pendant, je tressaillit il me chuchote :

-"Foutaise, baliverne, je ne te crois pas ... J'en ai que faire de tes mensonges . (Ma respiration s'accélère et mon cœur est prêt à exploser ) ..."

Il embrasse mon cou, je n'arriverais jamais à lui résister. Ma tête penche légèrement à gauche afin de sentir pleinement ses lèvres sur ma peau . Il me fait tourner face à lui, nous nous regardons en silence. Cette électricité dans nos corps nous attire . On en peut plus . J'ai envie de lui c'est certain, mais je ne peux pas. Il pose se front sur le mien, il ferme les yeux . Hésite t-il ? ... Je dois en profiter pour sortir de son étreinte mais je ne peux pas. Il regarde mes lèvres. J ne peux m'empêcher de les mordiller . Il se décide à m'embrasser, nos langues s'entrelace avec fougue et passion. Ses mains caresse mon dos, puis il descend sur mes fesses et relève ma jambe autour de sa taille . Ma robe fendu sur le côté gauche laisse apparaître ma peau, je peux sentir son sexe contre le mien . J'en ai tellement envie ! ... J'essaie de reprendre mes esprits et me rappel pourquoi je suis venue . Je le repousse avec force, mais je n'arrive à rien. Il agrippe mes bras les bloques au dessus  de ma tête contre la porte avec colère, rage et passion .. Il m'embrasse de nouveau et cette fois ci je ne lui rend pas son baiser je lui mord la lèvre inférieur, et lui rend bien autre chose ! Je lève ma jambe laissé au sol et frappe de toute mes forces dans ses parties.

Sous le choc il recule, et crie de douleur . Il se rassit sur son fauteuil, lèche sa lèvre légèrement rosé de sang en se tenant ce qu'il peut lui rester de testicule. En attendant je me recoiffe et essaie de me rhabiller "convenablement" . Je me dirige à son bar et me serre une triple dose de Whisky glace, je lui en tend un également.