43. Assurdo

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Giulia
*🔞*
(pour toutes personnes ne souhaitant pas en lire, la scène s'arrête au bout des « *** »)

Je suis assise sur Néréo et l'embrasse passionnément, laissant nos langues se mêler en harmonie. Seulement après être à bout de souffle chacun de notre côté, je recule précautionneusement laissant nos lèvres s'effleurer.

Son vert n'est plus aussi clair et laisse place à un regard empli de désir.

Nos nez toujours aussi prêts et mes cheveux, effleurant son visage, commencent à entamer une tension de plus en plus palpable.

Il passe vivement sa langue sur ses lèvres avant de les mordre sans lâcher mes yeux, mais contrairement à lui, je ne lâche pas ses lèvres pulpeuses.

Mes bras, étendus sur ses épaules, se referment rapidement sur ses cheveux quand nos lèvres s'entrechoquent tout aussi rapidement que le premier, mais cette fois-ci, c'est différent.

Nos langues retrouvent leur fusion quand il commence à retirer ma veste de blazer et à la balancer sur le canapé en face.

J'attrape son visage de ses deux mains et intensifie mes mouvements puis il lâche un léger grognement quand ça devient de plus en plus rapide.

Les mains de Néréo descendent doucement le long de mon dos puis attrapent promptement mes cuisses en m'avançant encore plus prêt que je ne le suis déjà, de lui.

Soudainement, il prend en main mes cheveux et m'aide pour accentuer notre baiser sentant son érection sous son jogging. Je rajuste mes jambes, pour être en sorte d'être à califourchon sur lui.

Nos lèvres chaudes se détachent, mais les siennes couvrent mon cou tant dit que je rejette ma tête en arrière et réchauffe son torse de mes mains brûlantes.

Ses baisers descendent le long de mon cou et viennent se poser sur mon torse puis sur la naissance de ma poitrine.

Ma tête se remet face à la baie vitrée sentant mon corps se crisper, puis je jette un coup d'œil en direction de Néréo qui a soudainement arrêté son action.

- Je ne ferais rien de plus, si tu n'en as pas envie, Rosa, souffle-t-il de sa voix rauque.

Je l'analyse entièrement puis je retire son t-shirt laissant ses abdos me distraire, couverts pas ses tatouages à l'infini.

C'est à mon tour de poser mes lèvres sur son cou qui sent le propre et le shampoing à la putain de framboise. De sa main droite, il attrape ma gorge et de l'autre, Néréo passe sa main sous mon haut et rentre en contact avec mon soutif puis l'effleure en retraçant son tissu en dentelle.

Mon corps frissonne. Je marque son cou plusieurs fois avant qu'il ne vienne reculer mon visage.

Son souffle est haletant posant ses yeux brûlants sur ma poitrine. En un rien de temps, il retire mon corset et dit oui de la tête délicatement sans lâcher mon soutif de sa vision.

- Ce putain de soutien-gorge que je rêve de te retirer depuis le Mexique.

Un rictus apparaît doucement sur mon visage quand je me lève et fait le tour de la chaise puis penche mon visage vers son oreille.

- Depuis autant de temps...susurré-je.

Il rigole bien trop calmement, toujours les jambes écartées, il pose ses deux mains sur les accoudoirs et se relève en baissant la tête puis il se tourne en levant un sourcil et relevant ses yeux clairs sur moi.

- On ne va pas jouer à ce jeu-là longtemps, Rosa, finit-il par se mettre entièrement droit et en avançant vers moi tout en me reluquant.

Je recule tout en l'étudiant. Une tension pesante... Bien trop pesante. Un orage éclate brusquement, éteignant toutes sortes de lumières. Seule la lune éclaire nos pupilles.

Mafia SegretaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant