Hôpital - OS

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Nda :

Voici le début de mon one shot !
Bonne lecture !

Nombre de mots : 14 415

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Kirishima accourut au chevet de son beau blond, son cœur se resserant dans sa poitrine et il cru flanché tant la surprise le secouait.

Là dans un lit, allongé entre la vie et la mort, le cendré, relié à des machines, était sans vie, ou du moin le semblé.
Mais l'objet médicale relié à lui qui émettait un son constant des battements du cœur du blond, lui fit comprendre que non, il était bel est bien vivant, et dans un coin de sa tête le soulagement se saisit de lui, quand il entendit le bruit constant.

Ses sentiments complètement chamboulés, le rouge ne savait que faire et surtout quoi penser de tout ça, il trouvait la situation bien trop horrible et son estomac se tordait à mesure que les pensées négatives l'assaillait.

N'arrivant pas à faire taire son cerveau, il voulut courir au toilette allé vomir le contenus de son petit déjeuner, qu'il avait pris plus tôt se matin en compagnie de ses amis, a se moment la de la journée, il ne se doutait pas, qu'il serait là, ici, dans cette pièce en proi à une grande panique à la vue de se corp.
Mais au lieu de ça, il tira une chaise, et la plaça au côté de son pétard mouillé il s'y assis et après plusieurs minutes à regarder se visage avec se masque à gaz, ses yeux dérivant sur le torse du blond, emmitouflée dans du bandage, pas un centimètres de peaux nue n'était visible et le rouquin ne savait jusqu'où sa s'étendait étant donné que le draps recouvrait le corps inerte de l'explosif.

Celui à l'alter de pierre, regardait avidement la main posée la, longeant le corps du blond, il mordit ses lèvres, et après plusieurs minutes à la regarder sur toutes les coutures, il s'en saisit, devenu dans le besoin de sentir les paumes chaudes de se dernier contre les siennes.
Mais, se qu'il sentit lui glaça le sang. La paume du cendré était habituellement extrêmement chaude, mais un froid hivernal fit frisonné Eijiro.
Il n'arrivait tout bonnement pas à croire sa, que le feux ardent qui circulé dans les doigts du cendré se soit éteint, et la peur le sumerga, celle que jamais là chaleur revienne dans ses mains.
Il savait que c'été de mauvais présage, et il se sentit dans un besoin imminent que cette main retrouve sa chaleur et que les doigts du blond se resserrent contre la main du roux. Mais sa n'arriva pas, tout comme le réveille de l'infatigable qui ne venait pas.

Le roux souffla et ferma les yeux un instant en essayant de remettre de l'ordre dans ses pensées tourmentés, mais rien de ce qu'il essaya de se dire ne le soulagea, il mordit ses lèvres jusqu'à sentir le goût métallique du sang se rependre dans sa bouche, et ressera sa prise sur la main gelée qui tenait désespérément entre ses doigts.

Le garçon à dents de requin, posa sa tête sur le bord du matelas sachant très bien qu'il resterait plusieurs heures ici à attendre que se garçon sur qui il veillait se réveille.

Il avait peur, une boule au ventre et dans sa gorge l'empêcher de respirer comme il faut, et comme une évidence, une première larme roula sur la joue de Eijiro, elle était douloureuse et amer.
Il se retint cependant de laisser les autres suivre à celle qui venait de s'effondrer sur ses pommettes.
Les heures qui suivirent fut d'une lenteur désarmante, et vers dix huit heures, quelques coup fut frapper à la porte, se redressant, des têtes qu'il connaissait bien apparurent à l'enbrassure de la porte, le rouge souria distraitement content d'avoir un peu de compagnie.
Une tête jaune vient se poster à côté de son meilleur amis et posa une main réconfortante sur l'épaule du rouquin accompagné d'un sourire compatissant.
L'amie rose du roux prénomée Mina se jeta dans les bras de son meilleur amis et le serra fort dans ses bras, il répondit avec autant de force à l'étreinte de la rose.
Le dernier venu se contenta d'une accolade affective envers son amis roux.
Quand Ashido quitta les bras musclés de Eijiro, celui-ci se precipita de reprendre la main du blond qui restait tout aussi froide que se matin, quoique un peu plus moite maintenant à cause de toutes ses heures passé à être serrée contre une autre paume.

L'explosif. (One Shot)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant