Chapitre 10

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Je n'ai pas vu Luca depuis des jours. J'ai l'impression qu'un fardeau a été enlevé de mon épaule, mais d'un autre côté, je regrette d'avoir dit le nom de mon violeur. Luca ne sera jamais en mesure de tenir sa promesse, même s'il le voulait tant.

J'entends la porte s'ouvrir. Je saute du canapé et je cours vers lui. Il est fatigué, je le remarque. Comme s'il n'avait pas dormi depuis des jours.

"Luca !" Je crie en l'embrant. Il me serre dans ses bras, fermement.

J'ai finalement lâché prise. « Qu'avez-vous fait ? Avez-vous tenu votre promesse ? »

"C'était la chose la plus difficile que j'ai eu à faire. Et croyez-moi, j'ai eu une vie très difficile", dit-il sans enthousiasme.

"Vous avez tenu votre promesse." Je déclare. « Alors tu l'as juste laissé partir ? »

Il rit. "Je ne suis pas tellement un ange, la micinia. Allumez la télévision."

Confus, je fais ce qu'il dit. Une fois la télévision allumée, il me dit d'aller sur l'une des chaînes d'information. Peu importe lequel, dit-il, car il sera diffusé sur chacun d'eux.

«... Adriano Cancio. Il sera condamné à perpétuité en prison..."

Mes yeux se grandissent. Ma bouche est grande ouverte.

Je me retourne et je cours vers Luca. Pour la deuxième fois, je l'embrasse. Je l'embrasse comme si ma vie en dépendait.

« Comment ? Comment avez-vous fait ? »

"Ne vous inquiétez pas à ce sujet maintenant. L'important est qu'il pourrisse en prison pour le reste de sa vie."

« Luca ? »

« Oui ? »

"Vous vous êtes trompé sur quelque chose."

Il lève son sourcil foncé. « Oh ? »

"Tu es tellement un ange. Vous êtes un ange. Je m'en fiche si cela fait mal à votre ego, mais vous êtes un ange. Mon ange."

Fin

Mon mafieux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant