(2) ne jamais dire jamais

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Le Ciel est beau aujourd'hui, les nuages se suivent, on dirait des moutons, c'est si beau-

- ma demoiselle okio
concentrer vous,

Pff comme si les cours de musique pouvais me servir a quelque chose... Je joue même pas l'instrument que j'ai envie,

(*** = Ellipse)

- et toi la, dit un garçon de ma classe

- tu veux Quoi, lui crachait-je froidement

- tu t'appelles comment ma Jolie, me dit t'il d'une façon presque moqueuse

- ta pas entendue le prof tout a l'heure ? Dis-je froidement

- oh ça vas tu peux me le dire de ta propre voix ma poupée,

Nan mais pour qui il se prend lui... Comme si ça allait changer grand chose a ça vie de m'entendre le dire,

- nan j'ai pas envie, lui dis-je d'un ton méprisent

- tu vas voir tu vas moins faire ta maligne quand je t'aurai violé

Ni une ni deux mon sang n'a le temp de faire qu'un Tour que ma main a déjà claqué ça joue

- sale pute, tu vas voir, commençe t'il a s'énerver

il commençait à ce rapprocher de moi avec un regard a en faire pâlir plus d'un

Je sors donc mon arme de mon sac et le pointe sur le gars,

- tu veux continuer ou je t'en fous une entre les deux yeux ?

Face à son regard devenu effrayé je ne pu contenir un sourire face à la situation,

- t'es complètement folle ma parole

- a parce que violé les filles qui ne te réponde pas te semble plus raisonnable peut-être ? Dis-je toujours autant amusé de voir ça tête apeuré

Il se met donc a pleuré et je lui ordonne de sortie, avent qu'il n'ai le temp de prévenir qui que se soit je part en direction de chez moi en espérant que personne n'ait appeler a mon domicile

***

- maman je suis rentré

- bonjour okio, dit t'elle désintéressé

- sympa l'accueil, dis-je en marmonnant

- mina tu n'a pas vue mes cigare je les cherche partout depuis tout à l'heure

Ce gars me dégoûte... Une carrure imposante ,les cheveux Sel et poivre, des bras aussi gros que mes cuisses, et une gueule de con... Si tu savais maman.. si tu savais...

- non chéri mais demande à okio

- nan je sais pas nan, je fume pas je te rappel, crachait-je froidement

- okio parle mieux a ta mère, dit t'il d'un ton qu'il essaie de paraître comme autoritaire,

- et qu'es qu'elle en a a foutre elle, elle s'en branle de moi, et tu le sais très bien pauvre con, dis-je en remontant les escaliers et en claquant la porte,

Putin.. elle a jamais rien fait pour moi et elle veut faire la mère autoritaire, mais mort de rire, elle m'a pas élevé, j'ai du me démerder seul, elle m'a abandonné, et elle veut faire comme si je lui devait tout... Elle m'a laissé avec ce connards, elle le savait, elle savait qu'il était pas net, et pourtant... Elle m'a laissé avec lui, tout les soir.. pendant 3 longue heures je devais subir, et ils ose me dire quoi faire.... Qu'ils aillent se faire foutre....

Okio Où les histoires vivent. Découvrez maintenant