Je l'admets, j'ai menti putain tu me manques. A travers ce monde de mortels, dans différents pays, à travers le ciel, la galaxie. Je ne trouverais jamais quelqu'un comme toi. Peut-être que je t'aimais trop fort ?
Lorsque le soleil caresse son beau visage, je pense à toi, à nous. On avait peur de rien on s'en foutait de tout et de tout le monde. Sur cette surface, tout le monde a sa part d'ombre et visiblement tu avais la tienne. Tu aimais plaire et recevoir l'admiration des muses sauf que tu n'as pas songé une seule seconde que ton manège finirait par s'effondrer en public et sous mes yeux. Dis moi qu'est-ce qu'elle avait de plus que moi ?
Elle a céder à tes avances, je n'ai pas répondu à des disquettes d'un marmot. T'as décider de partir, sans me donner d'expliquer car tu étais en tord. Viens oublie tout, tu me manques, ton sourire et tes blagues nuls. Tes yeux transperçaient mon corps, coeur contre coeur je le sentais chanter de belles chansons. Ta main moite dans la mienne et tes lèvres au goût de miel, tout ça me manque.
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MONSTRES
PoesíaNe sont pas toujours hideux, laids et effrayants mais peut être sous la forme d'un mortel avec la gueule d'ange.