Chapitre 9 : Demain ;

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☃️ Jour 23 ( parce que c'est devenue trop tard pour se rattraper mdrrrr ) ❄️ 




***

-Stella-



Je sentis son sexe me pénétré. Et je me sentis me contracté autour de lui. Putain ça m'avait manqué !

Il attendit que je m'habitue à sa taille avant d'y aller plus fort. Je mordis les draps mais je sentis sa main attraper ma gorge et relever ma tête alors qu'il me pilotait.

- Je veux t'entendre trésor. Je veux entendre ta voix. Je veux savoir à quel point tu vas bien.

Sa voix était beaucoup plus roque. Beaucoup plus intimidante.

Dans cette position son sexe frottait parfaitement mon point G ce qui me fit renverser la tête mais sa main maintenant celle-ci en me serrant la gorge.

Il était trop lent. J'avais besoin de plus. Et je savais qu'il faisait exprès. Il voulait que je lui dise. Que je le supplie. Et j'allais le faire. Parce que c'était un jeu entre nous. Quand Mattia est là. C'est lui le patron. Et quand Eduardo est là. C'est moi la patronne.

J'étais gagnant puisque Mattia apparaissait rarement. Et quand il était là. Je l'accueillais à bras ouvert. Parce que je l'aimais. Parce qu'il était une partie d'Eduardo.

Je les aimais tous les deux. Ils étaient mon tout. Et ils avaient un seul point commun : moi.

Mattia me baisais avec ardeur. Comme s'il voulait se souvenir à tout jamais de la sensation de son anatomie en moi. Savoir qu'il voulait se rendre me donnait envie de pleurer.

Je le sentis se pencher, sa queue me pénétrant encore plus profondément, alors que son bas du ventre tapait contre mes fesses. Ses lèvres me mordillaient l'épaule.

- Marque-moi, le suppliais-je.

Il n'attendit pas une seule seconde et suça ma peau. Je le sentis aspirer mon cou. Mon dos. Mes côtes. La douleur et le plaisir se mélanger et je sentis que j'allais jouir.

- Mí corazón !

- Jouis trésor ... jouis sur ma queue ...

Mes poignets tirèrent sur les menottes alors que je sentis l'orgasme me transportait.



***



Je me réveillais dans ses bras. Je savais que c'était avec Eduardo que j'allais être au réveille. Lui dormait paisiblement. Je me levais lentement. Je ne savais pas si j'avais le droit de descendre. Mais je le fis quand même. Il avait laissé les clés sur la porte alors j'ouvris la porte. J'étais nue mais je supposais que personne n'était ici.

Don't leave me ST CLAIROù les histoires vivent. Découvrez maintenant