CHAPITRE 8

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J'aime être ta muse, Harry.

Jeudi soir, 20h34.

Le mois de mai venait de commencer, les dernières semaines avaient était mouvementé, depuis que Draco s'était dans un certain sens, réconcilié avec ses ennemis passés. En effet ce dernier avait eu du mal à se faire à l'idée que le trio avec qui il se battait constamment pouvait être ses amis, Harry et lui se disputaient tout le temps mais c'était plus amusement et sur des choses futiles, ils n'avaient pas perdu cette manière de se provoquer. Ron et le blond étaient assez distant mais on les voyait parfois rigoler, sur des choses bêtes, qui n'ont pas de sens. Hermione elle faisait pas mal d'effort pour entretenir une relation correcte avec ce dernier, ils avaient trouver assez rapidement quelques points communs en politique et literature. Les repas entre eux se multipliaient, de même que les dates improvisées de Harry et Théodore.

Leurs amis se demandaient souvent si ils allaient sortir ensemble officiellement, même si ils se doutaient bien que dans la finalité ils seraient ensemble, leur amour était aussi unique que leur personnalité qui se fondait parfaitement l'une avec l'autre.

Mais cette semaine aller être mouvementée pour Théodore, ses partiels avaient commencé et le stress était monté en flèche, même si il vivait pour la semaine chez Harry comme convenue il y a peu de temps, il buvait beaucoup de thé, ses journées se résumaient à se réveiller tôt, réviser, aller aux partiels, rentrer, réviser, dormir. Ce qui fit réaliser à Harry, que les études avait une place immense dans la vie de Théodore et il ne pouvait pas se permettre de trop le déconcentrer, si ils devaient avoir une relation officiellement, il savait que Théodore aller devoir gérer études et relation. Son avenir passe certainement avant n'importe quelle relation, Potter se contentait pour cette période de lui faire à manger, lui servir du thé et de le rassurer avant qu'ils aillent se coucher, pour être le plus présent pour son amant il avait fermer la boutique le temps des partiels. Histoire d'être alerté si Théodore avait besoins de lui pour une quelconque raison, de toute façon cette fermeture lui permettait de prendre le temps de terminer de grosses commandes.

Théodore était touché pour l'intérêt que Harry lui donnait durant cette dure période de stress, il se promettait d'un jour lui rendre un tel service, c'était ça non l'amour ? Donner et recevoir ce dont l'autre à besoins par la personne chérit. Ce soir était la veille de ses derniers partiels avant qu'il ne soit en vacances, Théodore était dans un stress complet mais aussi une hâte d'être en vacances, il se demandait d'ailleurs si il pourrait rester ici pour les vacances ? Il demandera plus tard. Pour le moment c'était les révisions qui importait, il en était à sa sixième relecture de 3 de ses cours, mais son regard passa de ses cours à Harry quand ce dernier vint fermer son ordinateur.

- Qu'est-ce que tu fais ? Il faut que je révise Harry, s'exclama le faux roux en recouvrant son ordinateur, aussitôt refermer par Harry.
- C'est contre-productif de relire son cours et encore plus de ne pas prendre de pause, tu vas réussir Théodore, à ce stade de tes études, rien ne peut t'empêcher de réussir à part toi, expliqua le brun à son amant.
- Mais que veux tu que je fasse ?
- Prendre du temps pour toi, tiens ton thé pour te détendre, tu vas aller te poser ailleurs que sur une chaise derrière ton ordinateur.
- Très bien, si je foire mes partiels c'est de ta faute, répondit Théodore en prenant le thé entre ses mains, se levant pour se poser sur le canapé.

Harry l'accompagna, allumant une cigarette sur le chemin, rapprochant le cendrier de la table basse près de lui. Le faux roux prenait quelque gorgées de son thé, le brun tirer quelques taffes. Après qu'Harry ai terminé sa cigarette et Théodore son thé, les deux se regardèrent, Théodore avait l'air inquiet pour demain mais pas seulement.

- Harry ?
- Je t'écoute ?
- Après les partiels je peux rester chez toi ? J'aime beaucoup être ici, j'ai pas envie de passer mon été à faire des aller retour chez toi si je peux directement être ici.
- Évidemment, Théodore, tu peux rester autant de temps que tu veux.

LA CIGARETTE DU BRUN Où les histoires vivent. Découvrez maintenant