Le reste de la matinée, Tom peine à se focaliser sur toute autre chose qu'elle. Il a participé à deux téléconférences et pour ces deux réunions vidéo à partir de son bureau, il s'est incliné sur sa chaise, le cou tendu, en espérant distinguer à travers la fine fenêtre de la porte ce qu'elle faisait à son bureau. Il a été plus que ravi lorsque les appels ont pris fin, car lorsqu'elle s'est assise à genoux sur sa chaise et s'est penchée sur le dessus du bureau.
Il estime qu'elle le fait délibérément en venant vers lui après sa pause déjeuner. Elle a détaché ses cheveux de sa queue de cheval et ils retombent en vagues lâches sur ses épaules. Elle pénètre dans son bureau .
Les lèvres de la jeune femme sont marquées par un timide sourire. Comme si elle était consciente de pousser un peu plus loin la taquinerie et elle exhale un petit soupir avec soulagement après avoir posé le tout sur son bureau.
Tom n'essaie pas de dissimuler son regard sur sa poitrine et elle se demande s'il la remarque en train de regarder l'épaisse protubérance dans son pantalon. Ni l'un ni l'autre ne dit rien à l'autre, mais quand leurs regards se croisent, c'est comme si un accord tacite était en place. Un accord tacite stipulant qu'ils savent tous les deux ce que l'autre fait et qu'ils sont plus que d'accord avec ça.
Comme si les lignes entre eux étaient complètement floues et que toutes les limites étaient prêtes à être repoussées.
Il regarde ses hanches se balancer alors qu'elle quitte son bureau, fermant la porte derrière elle. Il s'appuie sur le côté de son fauteuil pivotant, la regardant taper quelque chose sur son ordinateur par la fenêtre.
Ses sourcils se froncent doucement lorsqu'elle se lève et contourne son bureau, croisant son regard à travers la fine vitre et passant entièrement devant son bureau. Il essaie de la regarder, mais elle disparaît de son champ de vision et un courriel s'affiche sur son ordinateur.
Tp : Retrouvez-moi dans la salle de photocopie.
Il bondit de sa chaise avant même de pouvoir s'éloigner de son bureau. Ses pas sont longs et rapides, il ouvre la porte de son bureau et la referme derrière lui. Il se racle la gorge et évite le regard de ses employés, ignore les regards insistants des femmes qu'il sait se toucher à l'idée de le voir tard le soir.
Tom se faufile dans la salle de photocopie, fermant la porte d'un coup de pied derrière lui. Elle se tient devant lui, appuyée contre la photocopieuse avec un sourire timide et coquet. Il passe la main derrière lui et tourne la serrure, sa lèvre inférieure tendue entre ses dents tandis qu'il la reluque sans vergogne. Elle se sent timide sous son regard, sachant qu'il ne cherche pas à cacher l'attirance qu'il a pour elle.Elle n'a pas le temps de se sentir mal à l'aise ou de se creuser la tête pour trouver quelque chose à dire, car il se précipite vers elle et, de ses deux grandes mains caressant ses joues, ses lèvres s'écartent contre les siennes. elle se lève sa main et emmêle ses doigts dans ses cheveux en désordre, tordant les boucles et tirant doucement. Ses mains quittent son visage en désespoir de cause, mordent ses hanches avant de faire le tour de son corps et de serrer délicieusement ses petites fesses.Elle goûte la fraise, sa langue tourbillonnant contre la sienne. Son esprit nage et tout ce qu'il veut, c'est goûter son petit pot de miel, savoir si elle a un goût aussi doux en bas que sur sa langue. Elle n'est pas mieux. Sa langue travaille habilement contre elle, léchant sa bouche chaude et grignotant doucement sa lèvre inférieure. Elle ne peut s'empêcher de sucer sa langue avec dégoût, se languissant d'être à genoux pendant qu'il utilise la bouche.
