Elle est pathétique, vraiment - elle hoche frénétiquement la tête - désireuse de faire plaisir.
Elle ne fait pas l'effort de les presser vers sa chambre. Elle est trop prise dans le moment où Tom pense qu'il veut que son colocataire la surprenne en train de se faire prendre en flagrant délit contre sa porte d'entrée, pour qu'il sache qu'elle est déjà traitée aussi bien que possible.
"S'il te plaît. J'en ai tellement besoin, s'il te plaît ", bredouille-t-elle, humide. Il l'embrasse rapidement ; chaud et collant. Leurs langues dansent un rythme effréné mais leurs lèvres parviennent encore à se mouler et à s'ajuster comme des pièces de puzzle. Les mains de son PDG sont chaudes sur sa taille, remontant le long de son corps jusqu'à ce qu'elles se placent sous ses seins.
"S'il te plaît, quoi ? S'il te plaît, qu'est-ce qu'il te faut, ma belle ? " cajole-t-il en lui suçant la lèvre inférieure, et elle a presque envie de le pousser à genoux et de passer ses cuisses sur ses épaules.
Mais elle n'en a ni la volonté ni le courage et elle préfère qu'il la domine comme une merde.
Son ton mesquin la fait trembler, ses doigts agiles essayant de tirer et d'agripper le blazer coûteux de son costume.
Elle ne sait pas si ça l'excite ou le frustre, mais ça l'incite à ouvrir son joli chemisier et à déchirer son soutien-gorge en deux. Il ignore son cri de choc et attache sa bouche humide à son sein, aspirant son mamelon durci entre ses lèvres et faisant rouler sa langue dessus.
La tête de Tp roule en arrière et se cogne contre la porte d'entrée, des gémissements et des glapissements pervers s'échappant de sa gorge.
Il ne lésine pas sur les moyens - il grogne et gémit, diffusant dans son corps des vibrations et des stridences qui enflamment son cœur. Elle a l'impression d'être en feu et Tom se sent comme un homme affamé qui est enfin sur le point de manger son premier repas à trois plats.
"J'ai besoin de toi dans ma bouche."
L'aveu dégoûtant le fait reculer et pendant une fraction de seconde, il est stupéfait. Tom arrête son attaque sur sa poitrine et se penche en arrière pour bien la regarder. Les yeux de la jeune femme sont d'un rouge flamboyant, un rouge qui crie le besoin et le toucher. Elle est baisée, complètement. Des cheveux en bataille et du brillant à lèvres étalé sur la moitié inférieure de son visage.
Ses propres yeux sont cachés alors qu'il la regarde glisser très lentement le long de la porte. Ses genoux fléchissent et il sait ce qui va se passer, ce qu'elle essaie de faire.
Tom a une moitié de l'esprit pour l'arrêter, pour lui rappeler qui est en charge et qu'il veut juste la goûter, la faire se sentir bien. L'autre moitié lui dit d'arracher le bandeau de ses cheveux et de maintenir ses cheveux et sa tête en place avec son poing, lui dit de la laisser se remplir la bouche avec sa longueur près de la porte d'entrée et de prier et d'espérer que son ami soit par hasard à la maison.
Ses mains tremblantes sont en train de défaire sa ceinture, de descendre sa fermeture éclair. Ses genoux touchent le tapis de l'entrée et elle se retourne derrière elle pour détacher complètement ses cheveux de son élastique.
Tom la regarde, le menton contre sa poitrine, pendant qu'elle se masse les cheveux avant de les jeter par-dessus son épaule.
