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CAPÍTULO UNO

Et si je vous dis que mon père c'est Xavier Hernández Creus, vous me croyez ? Eh bien c'est bien vrai, je m'appelle Valentina Hernández Creus, j'ai 18ans et je suis à l'université

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Et si je vous dis que mon père c'est Xavier Hernández Creus, vous me croyez ? Eh bien c'est bien vrai, je m'appelle Valentina Hernández Creus, j'ai 18ans et je suis à l'université.  J'ai une petite sœur de 6ans Asia et un petit frère de 4ans Dan, 2 petits montres que j'aime beaucoup.

Aujourd'hui et comme chaque jours j'accompagne mon père au entraînement, c'est quelque chose que j'adore! Et je me suis faite 2amis Pablo et Pedri, on s'est beaucoup rapproché, chaque jours que je venais au entraînement on rester ensemble. Ils sont peut-être chiant mais je l'es adore quand même!

- Valentina! On y va !, cris mon père d'en bas.

Je sors de ma chambre en courant sans oublier mon appareille photo et le rejoins en bas.

- Je suis là !, dis-je en arrivant en face de lui.

Nous sortons de chez nous sans oublier de dire au revoir à notre famille, et montons dans notre voiture.

Quand nous arrivons au Stade on se gare le plus près de l'entrée et rentrons dedans, où tout les joueurs attendent mon père.

- VAVA!

Je me retourne et vois Pablo arriver vers moi en courant, arriver à ma auteur il me prend dans ses bras.

- Tu ma manqué aussi Pablo!, lui dis-je en rigolant.

Pedri arrive et me prend aussi dans ses bras.

- Comment était ta journée ?, me demanda Pablo.

- Bien, je n'avais pas cours aujourd'hui donc ça va

- Ah bah ça va alors!, s'écrit Pedri.

Je lève les yeux au ciel, qu'est-ce qu'ils sont fatiguant.

- Bon allez vous entraîner!, leurs dis-je.

- Oui maman!, dise Pablo et Pedri en cœur.

Je rigole et m'installe sur le banc, j'aime beaucoup les regarder jouer et les prendre aussi en photo, voilà la raison du pourquoi je prend mon appareil photo avec moi.

———

Cela fait exactement 1h20 qu'il sont entrain de s'entraîner sans relâche.

Mon père leur laisse 15minutes de pause Pablo arrive vers moi et s'installe à côté de moi et souffle.

- Je suis..épuisé...!

- À ce point là ?!, rigolais-je.

- Tu peux pas demander à ton père d'aller plus..doucement...?

- Dans t'es rêve !

- T'aime bien nous voir souffrir enfaite ?!, dit Pedri en s'asseyant tout aussi essoufflé que Pablo.

Seulement toi... | Pablo GaviraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant