Chapitre 19

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SAVANNAH

Je reviens dans la pièce et je me dirige vers lui.

Moi : aller lève ton t-shirt.

Il fait ce que je lui demande et je m'assois à côté de lui.

John B : attend c'est de l'alcool à 90 ça ?

Moi : oui. C'est le moyen le plus sûr.

Je mets de l'alcool sur un coton.

Moi : aller ferme les yeux. J'y vais à trois. Un, deux, trois.

Je pose le coton sur sa blessure et il se met à hurler.

Moi : chuut ! Dis-je en mettant ma main sur sa bouche. Chut ! T'es dingue ou quoi ?

Je retire doucement ma main.

John B : désolé.

Moi : une vraie fillette je te jure.

Il me tape la main et j'appuie plus sur sa blessure.

John B : je te jure que je vais te tuer.

Moi : essaye pour voir.

Je continue de désinfecter et il me dit.

John B : c'est qui le gars sur le tableau ?

Je regarde le tableau et lui dis.

Moi : c'est Denmark Tanny, le fondateur de Tannyhill.

John B : le fondateur ?

Moi : mmh.

John B : comment un esclave à fonder une plantation de coton ?

Moi : c'était un homme libre. Il a une histoire assez mystérieuse.

Il se met à gémir de douleur.

Moi : il est sorti de nulle part et il a acheté toutes les terres avec de l'or.

John B : avec de l'or ?

Moi : oui.

John B se lève et je le regarde.

Moi : où tu vas, j'ai pas finis.

Il fouille dans son sac et il sort une carte.

John B : il était sur le royal Merchant.

Moi : sérieux ?

John B : mais il y a eu aucun survivant.

Moi : faut croire que si.

John B : tu peux m'en dire plus sur lui ?

Moi : quand les Cameron on emménager ici, ils ont trouvé un journal, un almanach, des documents de l'époque. Ward à tout donner aux archives de Chapel Hill.

John B : je peux les voir ?

Moi : elles sont à Chapel Hill, John.

John B : alors on doit y aller. Maintenant.

Moi : d'accord, on y va alors.

On sort de la maison sans que John B se face prendre par Ward et on remonte dans la voiture en direction du port. Un fois qu'on arrive là-bas, on voit que le monsieur qui s'occupe des billets ramasse ces affaires.

John B : non. Non.

John B se met à courir et je le suis.

John B : excusez-moi monsieur ! Y'a plus de place ?

Il lui répond pas et se contente de partir.

John B : oh fait chier ! Putin.

Moi : t'inquiète on va trouver une solution.

John B regarde le bateau et il m'attrape le bras.

John B : vient suis-moi.

Moi : d'accord.

John B : t'es déjà monter sur un remorqueur ?

Moi : euh, non.

John B : faut juste que je l'ai convaincu de nous laisser monter.

Moi : d'accord.

John B : je gère. Je l'ai connais c'est des potes.

Moi : d'accord, vas-y.

Je m'arrête et il part voir les messieurs.

JOHN B

Moi : euh, salut ! Dite capitaine je voulais vous demandez : ma sœur et moi, on a vraiment besoin de partir avec vous. On peut s'incruster ?

Il hoche négativement la tête.

Moi : s'il vous plaît. Allez soyez sympa.

Il continue de me dire non, et je le remercie avant de retourner vers Savannah.

SAVANNAH

John B revient vers moi et je lui dis.

Moi : je te laisse gérer ? C'est ça que tu m'as dit ?

John B : oh c'est bon. Bon faut trouver une autre idée.

Moi : t'inquiète j'en ai une, suis-moi.

Je vole deux blousons jaunes et j'en donne un a John B.

Moi : vas-y met le, et prend une bombonne.

On prend tous les deux une bombonne et on arrive à passer, sans que personne nous voit. On rentre à l'intérieur et on part se cacher dans la chaufferie. Le bateau démarre et cruche comme je suis-je trébuche mais John B me rattrape par la taille et nos visages se trouve vraiment très proche l'un de l'autre.

John B : ça va ?

J'hôche positivement la tête et je me sépare de lui. Oh mon dieu j'espère je rougis pas ! 

Amoureuse D'un PogueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant