Chapitre 47

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SAVANNAH

Je me réveille toujours dans les bras de John B et je vois qu'il dort encore. Je pars chercher un papier et un stylo et je lui laisse un mot en signant au non de ''Val''. Je sors de la maison sans me faire remarquer, pour que personne ne se doute que John B soit ici. Et je pars sur la cote pour trouver quelqu'un à qui parler. Je me dirige vers la tante où se trouve tous les policiers.

? : seul le personnel et autoriser.

Moi : excusez-moi, c'est pour John B ?

? : les civils ont pour consigne de rester à l'abri et de nous alerter si besoin.

Moi : non, non il est pas armé. Je vous promets qu'il n'est n'y armer, n'y dangereux.

? : on va prendre votre déposition.

Je voulais essayer de passer mais il m'attrape par le bras.

Moi : je veux voir un responsable. Vous faites complètement fausse route.

Il commence à m'éloigner de la tante.

? : calmez-vous.

Moi : laissez-moi passer je veux parler à quelqu'un.

? : suivez-moi.

Moi : non. Vous comprenez pas.

? : madame vous devez vous calmez.

Je vois un homme avec une cravate.

Moi : excusez-moi. Monsieur avec la cravate. Je m'appelle...je m'appelle Savannah Cameron.

? : désolé, monsieur.

Moi : j'étais sur le tarmac avec le shérif Peterkin. Je sais ce qui s'est passer. J'étais là ! Je veux seulement vous parlez. S'il vous plaît.

Il commence à s'approcher de nous.

? : ça va, ça va. Laissez-la.

L'homme qui me tenait me lâche.

? : que puis-je faire pour vous ?

Moi : désolée.

? : te voilà enfin !

Je tourne la tête et Ward arrive vers nous, oh non s'il vous plaît pas lui.

Ward : oh ma chérie ! Je t'ai cherchée partout ! Ecoute on peut pas rester là, laissons la police faire leur travail.

Moi : non.

Il m'attrape par les épaules.

Ward : excusez-nous.

Puis il commence à m'emmener avec lui.

Moi : c'est pas John B, qui a tué Peterkin !

Ward : c'est complètement faux je vous assure. J'ai fait une déposition au bureau du shérif. Ma nièce n'était pas là, elle ne se rend pas compte de ce qu'elle dit.

Moi : non c'est pas vrai !

Ward : Savannah s'il te plaît.

Moi : tout ce qui raconte c'est des mensonges !

Ward : d'accord très bien ! Vas-y. On t'écoute Savannah. Qui a tué le shérif Peterkin ?

Moi : Rafe. Rafe.

Ward : non, mais je rêve.

Moi : c'est mon cousin qui a tué le shérif Peterkin.

Ward : il était à la maison. Ma femme peut en témoigner. Je vous prie de nous excusez.

Moi : non !

Ward : s'il te plaît ma chérie, tais-toi. Aller ça suffit.

Moi : c'est quoi ton problème ? Dis-je en le repoussant violement. Ça fait combien de temps que tu nous mens ? Je te reconnais plus.

Ward : monsieur est-ce que je peux vous parler en privé ?

Il hoche positivement la tête et ils s'éloignent de moi. Son collègue m'attrape le bras pour m'éloigner et je lui donne un coup de genoux dans ces bijoux de famille et je pars en courant.

Amoureuse D'un PogueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant