⚠️Petit trigger warning ⚠️
Cette histoire va durer, longtemps (elle est prévue pour faire environ 13 tomes de 400 pages), certains passages sont violents, normalement j'essaierai de faire en sorte de ne pas les rendre indispensable, et je vais les mettre en italique donc si la violence, les coups, les agressions, le sang etc peuvent vous faire peur, ne vous forcez pas et skippez jusqu'à la fin de la partie en italique, inutile de lire ce chapitre aussi, passez directement au suivant quand il sortira, en tout cas, il s'agit de mon monde, je vous le présente, et vu comme je suis étrange et complexe, il devrait être intéressant, si j'arrive à clore cette histoire, j'espère en faire une petite pépite, bonne lecture les insensible, sinon au prochain chapitre !!!
Une nuit fraîche d'été, dans un petit village du nord, parmi les montagnes, au bord d'un lac d'un noir profond...
Dans sa chambre, le feu crépite dans la cheminée.
Il est recroquevillé en chien dans ses couvertures de fourrure, son souffle lui effleure les mains alors qu'il dort.
L'odeur de feu de bois est réconfortante, le craquement du bois dans le feu.
Crack...
Ses oreilles remuent, il vient de se réveiller, il entend une trentaine de respiration au sud du village, des discussions, une voix sèche et brutale et des craquements de bois qu'on tends et de cordes sous tension... puis un sifflement et le bruit sourd du choc contre des poutres, l'un des bruits semble être du métal cogné à une pierre...
L'odeur de feu devient plus intenses, de terres qui brûle, un mélange de poussière et de cendre.
Au bout du lit du petit, elle relève la tête et commence à renifler elle aussi, puis à grogner.
Il saut de son lit, tous ses sens en alerte, enfile une tunique. Sa fenêtre s'ouvre doucement à son geste de la main, et l'odeur de cendre vient lui étouffer les narines, il sent alors l'odeur de sang, il entends le métal déchirer la chair et les cris et grognements des soldats, il entend les couinements étouffés de ceux qui se font assassiner, et la panique chez les autres...
Il se précipite dans le salon et vois son père, en train de barricader la porte, sa mère le prends dans ses bras...
Elle arrive à son tour et saute dans les bras de la femme aussi, cette dernière leurs murmure des mots doux, mais sa voix est tendue, et sa peaux commence à durcir, et à se ternir.
Le père lui est maintenant complètement noir, des coups commencent à se faire entendre contre la porte, puis elle finit par céder, elle se dégongue et s'affale aux pieds du père.
Il se met en position de combat, montant sa garde, alors que la mère cache les yeux des enfants et les emmène à l'étage, il a quand même le temps de voir trois silhouette armée d'épées et de lances, alors que son père se lance face à elles...
Dans la chambre à l'étage, rien ne bouge, il entend les rales des hommes que son père tabasse, leurs os se briser et leurs cœurs s'arrêter, puis soudain un froissement de tissus, le cœur de son père faire un bon, puis la chaire se briser, sa carapace éclater, ses os se fendre et se muscles se contracter, puis dans un bruit de succion le coeur lui être arracher...
Il hurle, son père vient de lâcher son dernier souffle, et sa mère a un hoquet de terreur.
Une late de l'escalier grince, puis le prédateur apparaît dans l'encadrement la porte, encappuchonné, mais ça ne peut être que lui...
Qu'eux!
Ils sont deux!
Le deuxième apparaît derrière la première, il doit se pencher pour voir sous la porte.
La première se jette vers eux, sa mère se relève alors qu'Elle se blottit contre lui...
La peaux de sa mère noircit peu à peu, alors que des pics apparaissent sur son avant bras gauche, elle tente de frapper le prédateur qui lui foncé dessus, mais celle ci esquive sans mal par dessous et tend sa main...
Le sang goute alors que la main ressors dans le dos de sa mère, des éclats de carapace volent et le sang lui éclabousse les joues, ce sang blanc et brûlant...
Le corps s'effondre sans vie, et les deux prédateurs se penchent vers eux...
"On les a trouvés..."
Cent mille ans plus tard, non loin de là, dans une nuit semblable, un jeune homme se lève alors que la sueur perle sur son front.
