Chapitre 7

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          Le décor de la chambre était plutôt charmant et apaisait la petite Serdaigle qui se sentait épuisée par tous les événements des deux derniers jours.

Elle détailla la pièce un instant, debout prés de sa valise. A droite, se trouvait un bureau blanc sur lequel trônait un miroir cadré d'ampoules et un siège à roulette qui lui paraissait plutôt confortable. Dans le fond, un meuble de rangement assez petit dans lequel elle ne pensait pas pouvoir faire tenir quoique ce soit . Enfin, à gauche, le lit deux place croulait sous les coussins et les peluches et arborait un couvre-couverture aux motifs roses, jaunes et violets pastelles. Le papier-peint bleu ciel était couvert de minuscules petites fleurs blanches et des cadres étaient accrochés un peu partout sur les quatre murs, montrant quelques fois une petite fille blonde de 5 ans avec sa mère et un vieil homme dans la fin de quarantaine( son grand père ?) , d'autres aussi, elle-même en tenue de quidditch souriant de toutes ses dents en se préparant pour un match, ou alors des photos floues de ses amies,mourant toutes de rires sous leurs grimaces affreuses.

La petite blondinette décida de ranger ses affaires dans le bien pauvre meuble qui lui servait d'armoire. Alors qu'elle ouvrait le petit placard, elle sentit presque sa mâchoire se décrocher tant elle était surprise.

Le minuscule meuble renfermait enfaite une énorme pièce de la taille d'une salle de classe dont le mur du font était couvert d'étagères et de plusieurs penderies ouvertes pleines à craquées de vêtements qu'Hermione-Jane rêvait de porter dans son autre réalité. Sur sa gauche, une fausse fenêtre donnant sur une grande ville semblable à New York lui faisait face et à l'opposé de cette fenêtre étaient rangés un tas d'instruments moldus dont elle n'avait jamais eu la chance d'apprendre à jouer. Le sol étant d'ailleurs couvert d'un tapis duveteux lui donnait envie de s'y allonger. Elle se mit à quatre pattes et entra dans cette énorme salle avec sa valise. Alors qu'elle s'extasiait sur les robes en mousseline et les vestes en cuir, elle fit un nouveau point:

Elle,Hermione, jouait en quelque sorte le rôle d'une jeune fille du nom de Jane R. Hopper dans une autre réalité et découvrait les circonstances en même temps qu'elle continuait de vivre.  les questions à se poser:

- Pourquoi se trouvait-elle dans cette réalité ? Devait-elle réaliser une sorte de mission ?

- Qu'était- il arrivé à son père si sa mère,elle, était en relation amoureuse avec Alenor ? Etait-il mort ? Les avaient-ils abandonnés,elle et sa mère? Ou ils avaient justes divorcés ?

-Quand rentreraient-t-elle chez elle ? Et dans quelles conditions ?

- Se pourrait-il qu'elle reste ici pour toujours ?

Soudainement, elle s'arrêta sur une boite à chaussures décorée de scotch décoratif et de paillettes argentées. Elle ouvrit cette pacotille qui lui semblait soudain être la chose la plus précieuse au monde.

La boite contenait toutes sortes de trésors, des coquillages d'une rare beauté, des morceau de cristaux aux couleurs magnifiquement étranges, des amulettes aux airs orientales, une petite boite couverte de velours noir et une enveloppe qui semblait avoir été ouverte à de multiples reprises. Hermione-Jane pris presque religieusement la boite et l'ouvrit avec milles précautions. Un fins bracelet en argent trônait sur le satin blanc de l'intérieur de la boite et un pendentif en forme de fleur en diamants gris presque noirs avait été posé délicatement au centre. Jane n'aurait jamais le courage de porter quelque chose d'une telle magnificence pour quelques raisons que ce soit. Elle referma la boite et la rangea avec la même cérémonie puis reporta son attention sur l'enveloppe.

D'après son constat, c'était une lettre que l'on lui avait envoyée,et un petit colis étant donné qu'elle était courbée de touché. Elle renfermait un petit parchemin. Une sorte de petit mot. Jane le lut.

Jane, ma toute petite et très charmante Jane,

Tu as huit ans aujourd'hui et tu continues de grandir, malheureusement, je ne suis pas là pour voir ça. J'ai été retenu par le voyage d'affaire au Pays de Galles, mais dés que je reviendrais, je te fais la promesse que l'on ira mangé une barbe-à-papa au village, tous les trois, comme tu aimes si bien le faire lorsque je rentre de mes voyages.

En attendant, je veux t'offrir un cadeau, bien sur en plus du souvenir de voyage pour ta collection. Celui là est bien plus spécial que tu ne le pense. C'est une amulette galloise . Tu as remarquer la forme étrange de son pendentif ? Eh bien, c'est un nœud gordien, la légende dit qu'il est indénouable. Il te plait ? Ah, ça, je l'espère car une amulette aussi puissante est dispendieuse et ne se trouve pas dans tous les coins de rues. Mais, bien sur,  je suis heureux de te l'avoir acheter. D'ailleurs dis bonjour à ta mère pour moi.

Je pense à toi,

Ton vieux père

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coucou mes petites chocolatines,

désolé, je sui en retard, je sais mais j'ai plus tendance à écrire la nuit car la journée , j'ai cours ou j'ai du travail, mais je ne vous oublie pas,

encore désolé

n'hésitez pas à me faire part de ce que vous en penser ( 860 mots ! wouah!)

ParkinsonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant