chapitre I

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Je n'ai jamais eu une vie facile.. J'ai toujours voulu ressembler a ces filles parfaites avec un père et une mère qui aimait leur enfant... Mais à la place j'ai eu le droit a des "parents", que dis-je! Des étrangers! Qui n'ont jamais remarqué la peine de leur fille, et qui ne m'ont jamais prêté attention.

Mais c'est peut-être mieux ainsi... C'est vrai que vous vous disez sûrement que j'exagère ou je ne sais quoi. Mais je peux vous jurer que non, j'ai toujours dû me débrouiller toute seul, que se soit pour l'école (d'ailleurs mes professeurs n'ont jamais rencontrer mes "parents" et
c'est mieux ainsi croyiez moi...)
Que se soit aussi pour m'acheter de quoi me nourrir et m'habiller,  (j'ai du travailler très tôt vers l'âge de 13 ans)

je faisais quelque boulot par ci par là... Jusqu'au jour où sa n'a plus suffit et où j'ai du arrêté l'école  pour me consacrée entièrement au petit boulot. C'était sois ça, sois je me retrouver à la rue car mes chers "parents" avait décidé de ne plus travailler. J'ai dû tout prendre en main, payer
le loyer...etc, puis un jour je ne suis pas rentrer chez moi, j'avais besoin de prendre  du recul... Alors j'ai fuguer.

Ils n'ont même pas chercher à
me retrouver, c'était comme ci je n'avais jamais existé pour eux, le pire c'est qu'ils ne m'ont pas manquer, je me suis sentit libéré comme ci je pouvais enfin respirer et se sentiments de puissance n'a pas duré longtemps... 

Je me suis vite rendue compte que en dehors de mes "parents" je
n'avais pas d'autres famille et encore moin d'amis. (On vas dire que mes quelques année a l'école n'ont pas était les meilleures de ma vie...) J'ai du donc rester a la rue.

Au début ça allait j'arrivais à me débrouiller, je trouvais toujours quelqu'un qui voulait bien me donner un peu à manger ou à boire et puis, au fur et à mesure du temps, mon apparence physique se dégradait, je ne ressemblait plus à rien.

Les gens ne prenait même plus la peine de me regarder, ils m'ignorait me laissant à la rue sans nourriture ni eau. Mais là n'était pas le pire, le pire fus quand l'hiver arriva, j'étais maigre, et sans défense contre le froid qui me grignoter la peau et qui me rendait encore plus faible que je ne l'était...

C'était horrible, je me souviens de la peur que l'on pouvait lire dans mes yeux, j'étais terrifier je sentais la fin arriver et mes dernier espoir de liberté s'envoler. J'étais recroquevillée sur moi même, et je ne pouvais plus bouger...

Un soir alors qu'il faisait nuit et que je sentais mes dernières heures arriver, il ce passa quelques choses que je n'aurais pus imaginer m'arriver...

Flashback 3 novembre 2014 :

Seul la lumière de l'intérieur d'un bar éclairais faiblement la rue, un garçon qui devait avoir un peu près mon âge en sortie, il devait sûrement être là pour faire la fermeture du bar.

Je le regardais fermer la porte et se diriger calmement vers sa voiture, il ne m'avait sûrement pas vue. En même temps qui aurait fais attention à moi? Personne. Vue je ne ressemblais plus à rien... sachez que les gens seront toujours près de vous, mais que quand vous sombrerez ils partiront, les gens sont lâche, ils restent quand tous vas bien et disparaissent quand tous vas mal...

Or ce garçon tourna la tête vers moi et me vis. Sûrement qu'il avait sentis que quelqu'un le regardais "les regards attirent les regards" à se que l'on dit, bref il me vit et je pus lire de la pitier dans sont regard, mais moi je m'en foutait de sa pitier, tous se que je voulais c'était de l'aide mais je n'avait pas la force de parler alors tous se que je fis fus de soutenir sont regard.

Il sembla hésiter puis s'approcha de moi, doucement mais sûrement. Je le vis plus clairement, il était brun plutôt grand, une carrure assez imposante, des yeux magnifique et d'un bleu saisissant. En claire il était magnifique.

Il s'accroupit près de moi, me regarda un assez long moment puis posa sa main sur ma frêle épaule, supris j'eu un mouvement de recul, je ne m'attendais pas à se geste, habituellement personne n'osait me toucher à cause de mon apparence plutôt repoussante depuis que je vivait à la rue.

Lui aussi sembla surpris mais pas de son geste plutôt de mon mouvement de recul. Il fis alors quelques choses que personne de m'avais fais depuis longtemps... Il pris la parôle pour s'adresser à moi ... personne ne m'avait parler depuis un certain temps je dois dire..

Garçon : "hé.. n'est pas peur, je ne veut pas te faire de mal, seulement t'aider, mais pour ça tu dois me dire ton prénom.. moi c'est Isaac, Isaac Sanders, et toi comment tu t'appelle?"

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