L'acrobate de la génération miracle.

Chapitre 15

Ils avaient continué de se chamailler comme ça pendant un peut pré une heure.

- Bon temps mort la ! Jvais avoir des bleus après.

Rigolait il. Kogoyami haussa les sourcils.

- T'as cas arrêter de dire des bêtises et je ne te frapperais pas !

Aomine haussa les épaules. Bon d'accord, il l'avait bien cherché. Pendant un petit moment de silence, il pu se concentrer enfin pleinement sur la violette. Se rendant facilement compte qu'elle n'était pratiquement pas habillé.

Au mois d'octobre, c'est assez problématique. Il soupira.

- Tu t'es pas changé ?

Au début elle ne comprit pas vraiment pourquoi il lui disait ça, jusqu'à temp qu'elle se souvienne qu'elle avait couru comme une folle jusqu'ici.

Elle affichait un air confus, oups.

- Je n'ai pas eu le temps.

Aomine lui fit signe de poursuivre. Elle se pinça la levres. Elle n'avait pas fait tout ça pour rien, si elle lui disait que Momoi l'avait appelé en trombe pour qu'elle aille lui parler il aurait sûrement peter un câble !

- Mon frère m'a appelé 178 fois pendant mon entraînement alors comme j'ai eu peur qu'il lui soit arrivé quelque chose j'ai couru ! Mais c'était juste parce qu'il avait terminer ses gâteaux et qu'il voulait prendre les miens.. pfff..

Il hocha la tête. Ça tenait la route, c'était bien son genre.

- D'ailleurs t'as pas cours toi ?

Il s'inquiétait vraiment de ça alors qu'il passait son temps à sécher ?

- L'hôpital qui se fout de la charité.

Il pouffa de rire. Celle là aussi il l'avait mérité. Il s'asseya enfin pour fouiller dans son sac qu'il avait laissé non loin.

Il en sortit un vêtement en boule puis lui lança.

- Tiens.

Elle le déroula pour l'observer. C'était sa veste d'uniforme de basket. Elle lui souria.

- Merci.

Il hocha brièvement la tête. C'était peut être le bon moment pour entamer le sujet. Elle enfila la veste trop grande pour se protéger du froid pendant qu'elle réfléchissait à comment faire ça subtilement.

- Tu joue cette après-midi ?

Lui demandait elle innocemment. Aomine la regarda avec incompréhension.

- Pourquoi je ne jouerais pas ? C'est la finale je te rappelle. T'es à l'ouest Atsushi.

Son nom de famille lui glaça le sang. Pourtant il venait de faire un effort pour ne pas l'appeler morveuse ! Il pensait que ça n'aurait pas eu cette effet là.

- Qu'est-ce que j'ai dis ?

Lui demandait il voyant bien qu'elle était tétanisée. Kogoyami déglutissant pour se remettre les idées en place.

- Je préfère encore morveuse plutôt que Atsushi.

Il lui lança le regard le plus incompréhensif du monde.

- Tu m'appelle bien Aomine et moi j'en fais pas tout un flanc.

Elle hocha la tête, un peut confuse de devoir lui avouer ça.