Love has its reasons

Silence

Bonjour à vous,

J'espère que l'histoire vous plaira je préfère prévenir et mettre un TW:

Violence
Meurtre
Auto mutilation
Viole

Beaucoup de mauvaise choses serons abordés lors des premiers chapitres, histoire de vous mettre dans le bain, mais rassurez-vous la suite est bien mieux

Aucun plagiat et je ne veux pas être accusé de quoi que ce sois si vous voyez des scènes qui vous rappelle d'autres livres, je vous assure qu'il n'y a aucun plagiat.

Je me demande qui vous allez choisir entre les deux...

Bonne lecture <3

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Alya

La chaleur que ma couverture m'apporte, c'est mon seul réconfort pour l'instant les journées se ressemble toutes et mon sourire à disparu toutes mes émotions se sont éteinte, personne ne me demande comment je vais et pour être honnête ça me convient parfaitement, je n'aime pas
Mentir,

mon corps est sale, mes cheveux secs et mes yeux sont humides pour la millième fois aujourd'hui, mais je ne dois pas pleurer, je n'ai pas le droit alors encore une fois, j'essuie les larmes qui menacent de ne couler aucune d'entre elles n'a pu continuer son chemin sur ma joue, je n'autorise aucune d'elles de le faire, je n'ai pas le droit.

Et là, le bruit de la serrure résonna dans la maison, je laisse un soupir m'échapper, je suis seule depuis des heures à réfléchir, ce qui m'arrive très rarement les autres refuse de me laisser par peur de ce que je suis capable de faire, mais je n'ai même pas la force de me lever pour une douche, mais je laisse faire, je n'ai pas l'envie de débattre encore moins de l'envie de parler.

Alors par réflexe, je me blottis contre moi-même tout en me cachant sous la couette qui que ce soit je ne veux voir personne, peut-être qu'ils souffrent autant que moi, je suis peut-être égoïste, mais je n'arrive pas à faire autrement.

Et s'il était là que penserait t'il de tout ça?

- C'est elle ? Dit une voix inconnue

- Oui, elle n'a pas bougé depuis des jours, elle ne nous a même pas dit un mot depuis ce jour...

Cette voix-là, je la connais elle a bercer ma jeunesse, ma tante Louise, un jour elle m'avais expliquer que son prénom signifiait « combattante » je ne peux m'empêcher de sourire en y repensant elle nous avais imité ses gestes de ninja en nous menaçant que le premier qui riait d'elle ferais la vaisselle, je vous l'accorde, c'était une punition assez nul, mais bon je n'en parlerais pas plus j'ai fait la vaisselle ce soir-là.

- Je pense pas que ça soit une bonne idée de la réveiller avec tout ce qu'on doit lui dire elle doit être préparé appelez moi quand le moment sera arrivé.

- Merci Rosaleen, vous n'étiez pas obligé sachant que si votre frère l'apprend, il vous en voudra! répondis ma tante, je sens un léger soupçon de peur à la fin de sa phrase.

- Ça vous pouvez le dire, mais ne vous en faites pas pour moi le plus important, c'est qu'Alya s'occupe rapidement de cette histoire avant que ça ne dégénère.

De quelle histoire parle t'elle, je ne connais pas de Rosaleen et je n'ai de problèmes avec qui que ce soit je veux simplement faire mon deuil tranquillement.

- Je vais faire de mon mieux, je vous le promets !

- Je n'en doute pas, cependant, je dois vous laisser, j'ai un cocktail ce soir et je ne dois pas être en retard sous aucun prétexte.

C'est là que je sens mon corps entier se crisper quand je sens une main dans mes cheveux me caresser avec une douceur que je ne connais pas des frissons entiers parcours mon corps ce n'ai pas ma tante et ça, je le sais sans même regarder dans le genre pas tactile elle étais championne dans le domaine.

Sa main quitte doucement mes cheveux comme si l'idée de me réveiller lui fait peur, je sens la femme s'éloigner avant d'entendre la porte d'entrée se refermer, je n'ai pas entendu la réponse de ma tante, le geste de cette femme m'a tétanisé.

Les seuls bruits que j'entends après ça sont un placard qui se referme et le bruit d'une bouteille qu'on vient d'ouvrir et des pleurs beaucoup de pleurs.

Peut-être que ma réaction est l'une des pires, mais je préfère faire la sourde fermer les yeux et tenter de m'endormir ce qui m'est finalement impossible ce ne sont pas ses pleurs qui m'y empêchent, c'était ma lutte intérieure pour ne pas céder aussi à mes larmes.

Je n'ai pas le droit.

Je n'ai pas le droit.

Je n'ai pas le droit.