CHAPITRE - 37

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PDV IZUKU -

Je cours. J'essaie vraiment de courir aussi vite que je peu.
Mais avec une balle dans la cuisse c'est difficile.
La douleur est insoutenable, mais je dois..
Je dois à tout prix...
Le rejoindre.

Tout autour et noir, je cour toujours..
Et là mon cœur s'arrête de battre.
Il est là..
Étendu au sol..
Gisant dans son propre sang...

J'arrive à son corps et je pose mes genoux au sol sans délicatesse. Je palpe son corps en recherche de blessures.
Y'en a une.
Dans ça poitrine et particulièrement là où son cœur et loger.

Nan...
C'est pas possible...
Ses yeux sont encore ouvert je pose mes mains sur ces joues.
Du sang coule le long de ça bouche...

Katsuki - Deku...

Izuku - Nan parle pas.. garde tes forces les pompier vont arriver hein.. Reste avec moi s'il te plaît..

Katsuki - Je suis désoler... je

Il tousse crachant du sang.
Je pose mon doigt sur ça bouche pour qu'il arrête de parler.

Izuku - Chuut.. Katchan.. je suis là ok tu va rester en vie avec moi pour que plus tard on les tues hein .. reste avec moi...

Mes larme commence à couler le long de mes joue.
Il fait un ultime effort posant sa main sur ma joue.

Katsuki - Je t'aime.. à .. en crever..

Je pose mes lèvres sur siennes

Izuku - Je t'aime aussi Katchan..

je tourne la tête vers le camion de pompiers

Izuku - Regarde Katchan ils vont te sauver !

Il me fit un dernier sourire, mais sa main lâche ma joue pour s'écraser au sol.
Je pose mes mains pleine de sang sur ses épaules et le secoue doucement en l'appelant.
Non il dort pas vrais.. hein .. c'est ça il dort?

Ou alors il c'est évanoui..
C'est ça?..
Il c'est évanoui..
Il .. il est pas mort hein..
Mais aucune réponse de ça part..
Et je réalise, que c'est fini...
Je pousse un cri de terreur, un cri à me casser la voix.
Eijiro cour jusqu'à moi me prenant de force dans ces bras, m'éloignant de son corps.

Izuku - LACHE MOI ! IL VA CE RÉVEILLER ! Il va ce réveiller...

Eijiro - Non Zuzu...

Soudain j'ai plus de force de me débattre. Je m'écroule au sol alors qu'il m'avais lâcher.
Les Genoux à terre le regard vide.
Après un énièmes regard vers le corps de mon amant, je remarque le drap blanc sur son corps. Mon cœur déjà en miette n'est plus qu'un tas de poussière.

Je peu pas vivre sans lui.
Pris d'un élans de folie, de désespoir, le regard trouble et obscurci.
Je repère mon arme à terre, je court a celle ci sous les hurlements de mes amis.

La police qui réalise, bien que trop tard.
Debout avec l'arme en main.
Je pointe l'arme à ma tempe.
Mes amis cour en ma direction sous leur hurlements incessants de m'arrêter.

Je pointe mon glisse min doigt sur la gâchette, et leur fait un sourire.
Mon plus beau, car,
Je vais le rejoindre.
Je murmure un désoler.
Et appuis sur cette gâchette....

.

.

.

Je me réveille en poussant un crie.
Mes deux paumes de mains sur mon visage, la respiration hacher..
Katchan qui arrive en trombe dans la pièce,
Brosse à dent en bouche,

𝕂𝔸𝕋𝕊𝕌𝔻𝔼𝕂𝕌 • ℝ𝔼ℕℂ𝕆ℕ𝕋ℝ𝔼 𝔸𝕌 𝕊𝔸𝕃𝕆ℕ 𝔻𝔼 𝕋𝔸𝕋𝕆𝕌𝔸𝔾𝔼SOù les histoires vivent. Découvrez maintenant