Mes soirs d'hiver ne riment qu'avec « sombre ».
Quand le froid n'est qu'un rappel de ma solitude et de son ombre.
Un besoin intense de me réchauffer jours après jours.
Quand ma propre compagnie ne suffit plus à contrer le vide d'amour.J'ai souvent cru que la guérison se trouvait dans l'attention d'un autre.
Un médicament de passion qui anéantirai tous mes maux.
Mais tout ça ne signifiait pas grand chose.
Car aimer sans se soigner, c'est prendre le risque de contaminer sa moitié.Alors j'essaye,
J'essaye vraiment de guérir je vous le promet.
Parfois juste pour qu'on m'aime, d'autre rien que pour moi même.
Et arrivera un jour où je sortirai de ma prison de verre.
Trouvant enfin la flamme qui réchauffera ma solitude saisonnière.-Une flamme à côté d'une bougie
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Autre part
PuisiUn simple recueil de poèmes et de textes. « Il fut un soir où c'était le soir de trop. Peut être que le silence était devenu trop bruyant pour moi. Ou bien que le vide débordait excessivement cette nuit là... » Guérir avec les mots.