Le regards emplis de fierté, le matou peu trapu, glissa sur la parois rocheuses, son heure était venu. Il frissons de douleur lui parcouru le corps dans sa tête heurta violemment un autre roche quelques mettre plus bas. Les cris terrifiés résonnaient du haut de la falaise. Plus bas l'attendais le sol dur. Ses derniers instant de vie se résigner ici. Dans cette chute qui paraissait duré une éternité. Plus les roches aiguisé défilais, plus les yeux apeurés du matou le fixant devenait brillant et vifs.
Le choc fut brutal, comme quoi, un chat ne retombe pas toujours sur ces pattes.
La poussière se dégageant partout étais à peine respirable. Ces yeux bleu avaient changé depuis le choc contre la première pierre, ou devrai-je dire son oeil bleu.
Le matou borgne se releva temp bien que mal pour profiter de ces brefs instants de vie. Son regard rivé sur une forme imperceptible dans la poussière. Les mots prononcés par le matou furent éventré par le vacarme des chats, saints et saufs, au pic de la falaise. Les derniers mots du chat furent les seuls perceptibles.
« Nous commettons tous des erreurs, le matou pris peine à reprendre sa respiration, Certaine ont des répercussions infinies, tel un écho qui se répète a tout jamais. » Le matou fièrement dressé, juste après ces dernières paroles, s'écroulât sur le sol, et parti chasser avec la tribu de l'eclipse. Dans les cieux entre le soleil et la lune. La ou seul la paix fait fureur, et tout et pardonner. Comme une seconde vie dans un monde idéal.
