~Chapitre 5~ Oh Scheiße

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URSS était rentré la veille, il se sentait un peu idiot d'être parti et maintenant il s'inquiétait pour Reich. Et si quelqu'un lui avez fait du mal ? OU PIRE ? Il regretta...

Aujourd'hui, il faisait très froid, la neige recouvrait les routes. Alors il s'habilla et sorti rapidement. Il chercha et demanda aux habitants si ils n'avaient pas vus le petit nazi mais en vain.

Il n'abandonna pas et d'un pas lourd et pénible il marcha pendant des heures dans ce drap blanc. Au bout de 2h, il entenda les cris d'une femme, il alla voir.

Femme : OH MON DIEU ! EST-CE QU'IL EST MORT !

URSS : De qui parlez vous ?

Femme : De lui !

La femme pointa d'un doigt tremblant le corps de Reich recouvert à moitié de neige.

URSS : REICHY !

Il se précipita près du nazi, gelé et inconscient.

Femme : Il-il est mort ?

URSS *sa main sur le torse de Reich* : Heureusement non, il respire. Mais sa respiration est lente et faible. Son corps est gelé. *regarde le visage de Reich avec des larmes* C'est entièrement de ma faute...

Femme : Voulez-vous que j'appelle un médecin ?

URSS : Non merci je vais m'en occuper.

Femme : D'accord

URSS se leva et porta le corps du petit nazi. Il le ramena chez lui et le coucha dans son lit.

Il prit soin de lui pendant des semaines. Un matin, le nazi repris petit à petit conscience.

TR *bégayant* : U-URSS ?

URSS : REICHY ?

TR : Que-qu'est-ce qu'il-il s'est passe-passé ?

URSS : Je suis désolé ! J'aurais pas dû te laisser seul !

TR : TU-TU PLEURES ?

URSS : Oui... Je pleure car tu m'as fais terriblement peur... Tu sais que je ne veux pas te perdre...

TR : Je... URSS... Je-je t'aime..

URSS : QUOI ? Tu m'aimes vraiment ?

TR : Ja

URSS : Alors si... Je ne serais pas parti tu m'aurais dit ça.. Et rien de celà ne serait arrivé...

TR : C'est pas grave le plus important c'est qu'on soit tout les 2 réunis maintenant.

URSS : T'as raison.

L'ancien dictateur se mit assis et serra le communiste dans ses bras. En levant sa tête vers le soviétique, ils s'observaient et le communiste posa délicatement ses lèvres sur celle du nazi. Ce dernier surpris, rougit avant d'entourer la tête d'URSS de ses bras enroulés de bandages. Ils restèrent là pendant ce qui leur sembla une éternité, leur plus belle éternité. Plus tard leur bouche se détachèrent et ils se regardèrent, rougissant autant l'un que l'autre.

Derrière la porte, par le trou de la serrure, un soldat soviétique observait toute la scène. Il était jaloux du nazi, car il voulait aussi se taper son patron. ( Mdr il sait pas ce que c'est que de partager 😉 #humourpasdrôle )

TR : Meine Liebe

URSS : Mais ça veut dire quoiii ?

TR : Mon amour

Syndrome de Stockholm Tome 1 // URSS X Third Reich // Country humans storyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant