~Chapitre 1~ Prisonnier

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Nous sommes en 1945, Third Reich, ainsi que les autres membres de l'Axe ont perdus la guerre. Il voulut mettre fin à ses jours mais sentit un tissu imbibé de chloroforme lui couvrit le nez et la bouche. A peine eut-il le temps de réagir qu'il s'évanouit.

Il se réveilla dans une petite pièce qui contient un lit double au milieu, à droite une armoire avec des habits et à gauche un petit bureau avec des feuilles de papier et de la peinture. Une seule fenêtre sans rideau et avec barreaux éclaire faiblement la chambre. Il avait très mal la tête et la jambe droite, en la regardant de plus près il remarqua qu'elle saignait énormément. Pris de panique et de peur par cet endroit inconnu, il essaya de se lever mais tomba lamentablement sur le sol

En entendant un fracas dans la pièce de son prisonnier, URSS déverrouilla la porte et entra. Il vit Third Reich étalé par terre et il ne pus s'empêcher de rire. L'ancien dictateur leva la tête et s'aperçus que c'était son pire ennemi qui riait de lui.

TR : C'est bon t'as finis de te moquer de moi ?!

URSS *en riant* : Désolé mais en entendant un boom je pensais que tu voulais t'échapper et pas tomber ridiculement.

TR : M'échapper ? C'était mon plan au début. *essayant de s'asseoir sur le lit* Aie pourquoi tu m'as fait ça ?

URSS : Pour être sûr que tu ne t'échappes pas justement. Veux tu manger quelque chose ?

TR *en rallant* : Nein

URSS : Tant pis *commençant à partir*

TR : S'il te plait reviens c'était une blague ! J'ai faim !

URSS : Trop tard.

5 min plus tard, le soviet qui voulait le taquiner retourna dans la "cellule" de son détenu avec un repas.

URSS : Hé ho Reich il y a pas que toi qui fait des blagues. Toute façon je vais pas te laisser crever de faim, j'aurais besoin de toi pour quelque chose plus tard.

Le nazi trop concentré sur son dessin n'avait pas entendu le soviet entrer ni même s'approcher de lui pour regarder ce qu'il faisait.

URSS : C'est joli. Est-ce que c'est un dessin de moi ?

TR : AHHHHHHHHHHH SCHEIßE (traduction : Merde)

URSS : Je te fais peur maintenant ?

TR : J'ai pas peur, je ne t'avais juste pas vu et tu m'as surpris.

URSS : Mouais du coup c'est moi que tu dessines ?

TR *rougissant un peu et cachant son croquis* : Ca ne te regarde pas !

URSS : Pourquoi je risque d'être déçu ?

TR : Fik dich (traduction : Va te faire foutre)

URSS : Ça veux dire ?

TR : ...

URSS : D'accord- eu tiens ton plat *lui tend (votre repas préféré)*

TR *ne voulant pas remercier son rival* : C'est pas bon.

URSS : Tu te moques de moi ? T'es entrain de tout manger.

TR : J'avais faim.

Pendant que Third Reich finissait de manger, URSS l'observait en souriant ce qui mettait un peu mal à l'aise l'ancien dictateur et par ailleurs le fit rougir.

TR : Pourquoi tu me gardes ici ?

URSS : Parce que comme je te l'ai dit j'aurais besoin de toi.

TR : De moi ? Pourquoi ? Quand ?

URSS : Oui de toi, tu comprendras mieux demain. D'ailleurs ce soir je te laisse te laver pour que tu sois propre pour demain.

TR : Eu d'accord ?

URSS : Je viendrais pour te dire quand. À plus

TR : Ouais à plus

Le communiste sorti tandis que le nazi se recoucha difficilement dans son lit. Quelques heures après, URSS toqua et rentra dans la pièce.

URSS : Debout

TR *à moitié endormi* : De quoi ?

URSS : Viens suis moi

TR : Pfff ok

Tout les deux sortirent de la pièce et URSS aida le nazi à marcher jusqu'à une grande salle de bain.

URSS : Je te laisse dans ma salle de bain comme ça les gardes ne viendront pas te déranger.

TR : Eu ouais merci je suppose ?

URSS : Je t'ai posé des habits propres sur une chaise. Appelle moi si il y a un problème ou quand tu auras finis.

URSS laissa Third Reich qui commença à ce déshabiller avant de prendre un bain. Une fois fini, il enfila le long pull noir et le pantalon laissé par le communiste.

TR : URSS ! J'ai terminé.

URSS *entrant* : Ah enfin *remarque la jambe de TR saigner* Désolé pour ça.

TR : J'espère bien que tu t'excuse.

URSS : T'arrive un peu marcher ?

TR : Bof je fais pas 2m sans manquer de tomber.

URSS : Mince. Laisse moi te la désinfecter au moins.

TR : Si ça peut te faire plaisir.

Le soviétique reguida le nazi dans sa chambre et le fit s'asseoir sur le lit. Il prit un spray désinfectant et en appliqua sur la blessure.

TR : AÏE ! ÇA PIQUE TON TRUC !

URSS : Si ça pique c'est que c'était infectée alors soit je continue ou alors je te coupe toute la jambe.

L'ancien dictateur grogna tandis que le communiste soupira. Il finit par lui mettre un bandage.

URSS : Voilà finis. Tu vois c'était pas si horrible.

TR : Ta gueule

URSS : Allez je te laisse dormir, demain une grosse journée t'attend.

TR : Demain, demain, mais y a quoi demain ?

URSS : Tu verras.

Syndrome de Stockholm Tome 1 // URSS X Third Reich // Country humans storyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant