Imagine Assassin's Creed ( Alexios/Deimos )

Un bain de minuit

La lune était levée depuis un moment et Alexios savait que Phobos se fatiguait. S'il était honnête, lui aussi, et après un débat à moitié endormi avec lui-même, il décida de s'arrêter sur une plage pour la nuit; c'était dans une partie isolée de Phokis. La nuit était chaude, et Alexios était en partie content alors qu'il brossait la fourrure de Phobos, son esprit errant vers d'autres endroits.

À savoir, toi.

Il t'a rencontré il y a quelque temps, et tu n'avais pas quitté son esprit depuis. Toi et lui aviez flirté l'un avec l'autre pendant quelques jours, une chose en entraînant une autre, et, eh bien...

Il y avait un sentiment étranger dans sa poitrine alors qu'il faisait ses adieux le dernier jour; chagrin d'amour, douleur et un étrange désir. Il savait qu'il était tombé amoureux de toi, mais pour une raison quelconque, il ne ta jamais cherché. Il se demanda si c'était parce qu'il avait peur – peur que tu aies déjà trouvé quelqu'un d'autre qui pourrait être là pour toi plus que lui.

En soupirant, il se ramena au présent. Il commença à se déshabiller, avec l'intention de laver la crasse et la sueur de son corps dans l'eau à quelques mètres de lui. Il sortit une couverture (pour l'utiliser comme serviette) et l'emmena jusqu'au rivage. Il entra dans l'eau tiède, effleurant la surface avec ses doigts. Alors que l'eau atteignait la hauteur des hanches, il commença à se laver le visage avec un chiffon, rinçant ses pensées troublées avec la saleté.

Un léger hennissement lui piqua les oreilles, et il s'arrêta momentanément, laissant échapper un seul petit rire. Il savait à qui appartenait ce cheval.

Il entendit des pas s'approcher de lui, et il tourna la tête pour regarder par-dessus son épaule, le cœur bondissant de façon inattendue une fois qu'il posa les yeux sur toi.

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- Je ne t'ai pas vu depuis un moment, misthios. tu as souri largement, attendant là où la mer rencontre le sable. Tu l'as vu se retourner complètement. Il semblait beaucoup plus épuisé que la dernière fois que tu l'as vu, et tu as froncé les sourcils, inquiet.

- C'est bon de te voir, T/p. Il avait l'air d'avoir souri pour la première fois depuis un moment, pourtant, il y avait toujours une lueur d'inquiétude dans ses yeux. La tension nouait ses muscles sur ses épaules et dans son dos; quelque chose avait changé. Tu connaissais des parties de son passé, mais ce n'étaient que des morceaux disjoints. Il avait une soeur quand il était enfant, ça tu le savais.

Partageant un regard, tu as enlevé ton armure, te laissant dans ta tunique. Alors que tu le rejoignait dans l'eau, il te lança un regard suggestif, les lèvres tournées vers le haut. Tu t'es assis dans les vagues peu profondes, lui faisant signe de venir te rejoindre. Légèrement timide, il s'exécuta, s'installant entre tes jambes. Tu lui as retiré le chiffon de la main, l'essorant avant de lui laver les épaules, passant lentement sur le reste de ses muscles. Alors que sa tête tombait de plus en plus bas, tu pouvais voir le stress commencer à s'évaporer, permettant à son corps de se détendre légèrement.

- Tu a dû être très occupé. as-tu commenté son état de fatigue.

- Il s'est passé beaucoup de choses récemment. Il baissa les yeux, trouvant les vagues beaucoup plus intéressantes que le contact visuel.

- Veux-tu en parler ?

Il secoua la tête.

- Pas maintenant.

Ne voulant pas forcer, tu as continué à laver sa peau dans un silence confortable. Une fois que tu avait terminé, tu t'es déplacé sur ses bras, lavant lentement, des biceps aux doigts. Tu as donné à Alexios le chiffon pour qu'il se lave le devant de son corps, tandis que tu as utilisé tes mains pour frotter lentement les nœuds de ses épaules et de son dos. C'était facile de dire quand il avait fini, car il avait commencé à jouer avec le chiffon dans ses mains au lieu de l'utiliser.

- Viens. tu l'as tapoté sur le bras, en te levant et en sortant de l'eau et sur la plage. En ramassant la couverture, tu t'es retournée et l'a enroulée autour de ses épaules, en essuyant son visage et son cou avec l'excédent de tissu. Il tr regardait, acceptant la gentillesse rare avec un sourire doux et reconnaissant.

Tu as réparé la majorité de ton armure pendant qu'Alexios se séchait. Pendant qu'il se redressait, tu as sorti tes couvertures et ramassé quelques morceaux de bois d'allumage pour allumer un feu. Tu t'es assis correctement une fois que les flammes ont commencé à grandir, sentant une présence te rejoindre maintenant qu'il était convenablement vêtu. Alexios regardait fixement le feu, et on pouvait dire que cela allait être une nuit de peu de mots, et à la place une nuit silencieuse et de réconfort. Allongé, tu as attendu qu'il fasse de même. Sa tête s'est posée à côté de toi et tu t'es retourné pour le voir t'observer. Apportant ta main à ses cheveux, tu as commencé à masser son cuir chevelu, souriant alors que ses yeux commençaient lentement à se fermer.

- Comment m'as tu trouvé ? il fredonnait.

- J'ai simplement suivis l'agitation. Il ouvrit les yeux pour te lancer un faux regard. Je ne t'ai jamais perdu, Alexios. Depuis que nous nous sommes quitté, j'ai essayé de te rattraper, mais tu es difficile à attraper.

- Alors pourquoi as-tu continué à chercher ?

- Parce qu'être séparé de toi est bien pire que les dangers qui accompagnent le fait d'être avec toi.

Tu arrêtas tes mouvements quand Alexios se redressa, s'appuyant sur son avant-bras pour se pencher sur toi.

- Cela ne peut pas fonctionner. Nous sommes des mercenaires.

- Je suis prêt à essayer si tu l'es. Alors, puissant porteur d'aigle; l'es-tu ?

Alexios ne put s'empêcher de sourire. C'était petit, mais c'était là. Ses yeux se sont déplacés entre tes yeux et tes lèvres un nombre incalculable de fois, au point que tu as souri malicieusement et poussé doucement sa nuque vers toi. Il était doux; emboîtant doucement ses lèvres avec les tiennes, comme si tu allez t'enfuir s'il faisait un faux mouvement. Tu as apporté ton autre main pour repousser ses cheveux derrière son oreille, posant ta paume sur sa joue. Le baiser s'est terminé alors que vous vous sépariez lentement tous les deux; reculant d'un pouce à la fois lorsque tes yeux s'ouvrirent.

- Je le suis.