Tuer pour s'aimer

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Je fis réveiller par une odeur de brûler, mais qu'est-ce que c'est encore ? Je fit un bon quand je vois Aron avec une casserole en main.

- Mais qu'est-ce que tu fais ? Demandais-je surprise de voir le jeune homme vêtu d'un simple caleçon.

- Avec la nuit que nous avons passer, j'ai une fin de loup, me répondit-il avec un sourire charmeur, d'ailleurs pourquoi tu n'as pas dormi avec moi ? Au point où nous étions...

- Quoi mais qu'est-ce... Ah non mais non ! Il ne s'est rien passer du tout entre nous ! Et puis de qu'elle nuit tu parle ? Il est 16 heure ! Et tu es chez moi depuis que quelques heures parce que monsieur a bu et vomis sur moi en cour d'histoire !

- Tu n'es pas Louane? J'aurais pourtant parié, elle était blonde comme toi... Il c'est passé quoi ce matin ? Dit-il en s'asseyant sur une chaise.

- Non je ne suis pas Louane et ce matin, pour mon premier jours de cours ici, tu es arriver complètement bourré et tu m'a vomis dessus, vu que tu était ivre mort sur moi j'ai décidé de te ramener chez moi pour me changer puis je me suis endormie, donc maintenant ne fait pas brûler mon appartement c'est compris ?

Sur le coup il ne répondit pas, j'en profita pour récupéré la casserole et la mettre dans levier. J'ouvris le placard et pris des pâtes. Je l'ai fis cuire et je déposa une assiette devant lui alors que ce dernier n'avait toujours pas bouger.

- Tu sais je ne vais pas te manger, d'ailleurs mange avant que ça refroidissent.

- Merci, hmm ?

- Oh moi c'est Jadène.

- Drôle de nom mais bon j'aime bien, c'est original. Qu'elle sont tes origines Jadène ?

Qu'est-ce que je vais répondre moi, je ne me rappelle de rien !

- Je suis... espagnol ! -pourquoi ai-je dis ça?- Oui c'est ça je suis espagnol et toi ?

- También Sra.

Bizarrement je le comprenais, j'avais peut-être vu juste. J'acquiesce d'un sourire et me retourne pour laver les casseroles. Il n'a pas l'aire d'être si méchant que ça ce garçon.

Un silence sans nom s'installa dans la pièce alors que l'on entendait seulement les bruits de notre respiration.

Quand je me retourna il était là face à moi entrain de m'observer, il a l'aire tellement mystérieux. Lorsque mes yeux bleus se plongèrent dans ses yeux noir, c'était comme si le monde c'était arrêter. Je peut lire de la haine et de la tristesse dans ce regard noir. Aurais-je dû être gêner par cette situation ? Je n'en sais rien mais je sais que cela m'a apaisé.

- Tu es donc nouvelle ? Dit-il me sortant de mes pensées.

- Oui, et toi cela fait combien que tu es dans à...

- Dans se trou perdu ? 18 ans, mes parents vivait ici depuis qu'ils étaient nés.

- Pourquoi tu parles d'eux comme s'ils étaient morts ? Le questionnai-je.

- Ils le sont, j'avais treize ans à l'époque.

- Oh mon dieux, excuse moi Aron.

Pourquoi lui ai-je dis ça ?

- Comment tu connais mon nom ?

Comment te dire qu'un fou furieux veut que je te tue ?

- Euh, bh, bh le le prof, le prof a prononcer ton nom en cour tout à l'heure.