Tomura x Oc / Leila

Chapitre 12

Durant les quelques minutes qui se sont écoulées, la lycéenne attacha ses cheveux blonds polaire en une queue de cheval haute . Ses pointes formaient de gracieuses ondulations qui retombaient sur ses omoplates.

Soudain, un de ces malheureux portail de Black Mist apparu en plein milieu de la chambre et fit maladroitement sursauter la jeune fille.

Une secondes plus tard , le chef de l'alliance des super vilains débarqua, les bras chargés de gros cartons et les déposa sur le sol, devant le lit.

Tomura :  Ah. T'es toujours pas morte... dommage. Lança froidement le leader d'un ton amère tandis que la lycéenne avait les yeux rivés sur les phalanges explosées et rouges du criminel.

LEILA

Leila : Il est mort ? Demandais je soudainement.

Cette question me torturait l'esprit depuis une vingtaine de minutes. Le psychopathe marqua une pause mais ne me répondit pas .

Leila : Tu ne l'as pas fait pour moi alors dis moi pourquoi au moins .

Tomura : Tu m'as tendue toute la matinée... T'aurais peut être préféré que je me défoule sur toi ? Je l'aurais fais avec plaisir crois moi mais j'ai des obligations.

Évidemment ...

Leila : T'es complètement taré... Cet homme ne t'avais rien fais .

Tomura : Alors ça te faisais kiffer qu'il te touche comme sa ptite salope ? Me souffla le psychopathe de sa voix rauque en me considèrent avec le plus grand dégoût et de mépris possible.

Leila : Non . Répondis je sèchement en le regardant droit dans les yeux.

Espèce de connard.

Tomura : Pourtant tu prends sa défense alors si ça te fait tant plaisir...moi aussi je te traiterais comme ma petite salope.

Pardon ?

Le criminel avala dangereusement la distance entre lui et moi et me saisit le bras de sa poigne de fer. Ce geste coupa directement toute la circulation de sang dans mon bras.

Ma respiration s'accéléra alors que mon cerveau s'imaginait déjà toute sorte de scénario possible sur ce qui allait m'arriver d'ici quelques secondes.

Le tueur de masse me traîna à l'extérieur de la pièce et se dirigea vers une porte tout au fond du couloir.

Merde...

Nous descendîmes des escalier poussiéreux et étroits puis, sans même que je n'eus le temps de faire quoi que ce soit, le taré me jeta brusquement dans la cave.

Une pièce sombre, d'à peut près 10 mètres carré, éclairée par un pauvre néon qui allait sans l'ombre d'un doute bientôt rendre l'âme.

Les murs était en béton et le sol en pierre glaciale. La cave était absolument vide. Pas un objet, une fenêtre, rien .

Quand je me releva, j'aperçus la lourde porte en ferraille se refermer dans un claquement assourdissant .

L'enfoiré...

Cinq heures plus tard ...

Il devait être dans les alentour de 20 heures et je vais devoir passer le reste de la soirée et l'entièreté de ma nuit, si ce n'est pas de ma vie, dans ce trou à rat glacial.

Dans ce sous sol il devait faire à peine dix degrés et je n'étais vêtue de qu'un pauvre t-shirt et d'un simple jean . Je vais mourrir de froid c'est sur...