Tomura x Oc / Leila

Chapitre 58

TOMURA

Je remontais les marches de la cabine menant au pont du yacht, profitant de ce court lapsus de temps pour contempler...la couleur de son bikini argenté juste devant moi.

Malgré toute la luxure qui bouillonnait dans mes veines, la colère persistait. Cette colère malsaine et insupportable qui s'accrochait à moi lorsqu'il s'agissait d'elle, depuis le commencement .

Je détestais que d'autres hommes voient son corps, s'imaginent avec elle, s'imaginent la baiser, l'a toucher ou l'embrasser. Ça me donne des envies de meurtres bordel...

Leila se retourna et me jeta un coup d'œil furtif lorsque nous nous retrouvâmes à quelques pas de ce fils de chienne de Ben.

Tomura : Vas à l'arrière du bateau, monte sur un des jet, je te rejoins. Lui soufflais je discretement.

Consciente de sa connerie de ce soir, elle n'avait pas l'air de vouloir discuter mes ordres, miracle. Elle me répondit d'un signe de tête et disparue de mon champs de vision, je pus enfin centrer toute mon attention sur le brun à la tête de con.

Ben : Eh on vous a cherchés partout ! Elle va où Iris ?

Iris ? Ah... Ouais, ma iris.

Tomura : En quoi ça t'intéresse ? Répondis je en brisant la distance qui nous séparait.

Ben : Son... son comportement m'a paru étrange, elle a dit que t'étais pas son copain mec.

Les mots de se petit connard m'irritaient plus que tout. J'aurais aimer désintégrer ce putain de bateau et laisser se noyer chaque homme qui ont posés les yeux sur son corps ce soir. Chacun d'entre eux.

Je regardais le gamin droit dans les yeux, avec toute l'envie de meurtre qui me rongeait le cerveau. La seule chose qui me contenait était sa présence, je ne voulais pas qu'elle ai à voir de cadavre ce soir.

Tomura : Si, c'est bien ma copine on s'était juste un peut disputé, c'est gentil te t'inquiéter mais je ne veux pas d'embrouilles ce soir. Lui lançais je d'un ton amical en lui tendant la main en signe de réconciliation.

Chaque syllabe s'étant échappée de ma bouche me répugnait au plus haut point.

Ben s'approcha enfin de moi et me prit la main,

Et l'a perdit.

Se fit le tour de son bras, son épaule, son torse et son cou puis au moment où désintégration affecta son cœur ainsi que son cerveau, les cris de douleur de cet emmerdeur cessèrent immédiatement.

Lorsque son corps ne fut que poussière, je balaya rapidement les alentours du regard, ses hurlements avaient été étouffés par le bruit assourdissant de la musique et tout les monde était regroupé à l'arrière du bateau.

Il faut croire que c'était le bon moment pour faire payer le prix pour avoir posé ses mains dégoûtante sur mon ange.

Je descendis l'échelle métallique sous le regard attentif de Leila qui m'attendait sagement à l'arrière d'un des jetski, perdue dans ses pensées. Je monta à l'avant du jet et nous ramena au port vide à cette heure de la nuit.