L'effondrement

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Il était 12h22 quand Mélodie sortit du bâtiment de son lieu de travail pour aller déjeuner avec son groupe d'amis dans leur café habituel.

Le sol se mit soudainement à trembler la secousse fut tellement forte que Mélodie finit par tomber.

- Mais qu'est-ce qui se passe ?!

A peine eut-elle finit sa phrase qu'elle se retrouva complètement plaqué au sol parle souffle de l'explosion comme si on lui marché dessus. Ses oreilles bourdonnent telle des mouches qui volent, elle sentit quelque chose de chaud couler sur son visage alors de sa main tremblante touche sa tête. Rapportant sa main devant son visage, la jeune femme constate qu'il s'agit de sang, son sang.

Mélodie relève la tête et vit que ce qui se déroule sous ses yeux est semblable au chao. En regardant autour d'elle Mélodie constate que l'endroit qui a provoqué tout ce chao n'est autre que la centrale nucléaire. La centrale nucléaire a explosé en laissant derrière elle une fumée en forme de champignon géant ainsi qu'un voile noir qui obscurcit la ville entière et une odeur comparable à celles des égouts. Des flammes se trouvent un peu partout certaines sont dressées de façons menaçantes comme si elles étaient prêtes à attaquer.

Des gens criaient à sens déchirer les poumons, des corps étaient étendus au sol dans d'énormes marre de leur propre sang, d'autres étaient coinsés sous les décombres en criant à l'aide, les gens qui n'étaient pas coinsés et qui étaient en possibilités de bouger courraient dans tout les sens en criant à la mort comme si allaient mourir, certaines personnes étaient mortes carbonisées par le souffle du vent qui avait apporté les flammes jusqu'à un certain périmètre.

La jeune employée se retournait soudainement vers le bâtiment qui se trouvait derrière elle, elle n'en croyait pas ses yeux le bâtiment était complètement détruit il ne restait de lui que de gros bloques de bétons qui pourrait ressembler à un squelette humain, la brune se dirigeait vers les ruines de bétons.

- Est-ce qu'il y a quelqu'un ? S'il vous plait répondez moi ! Crie la brunette la voix tremblante encore sous le choc de tout ce chao

Personne ne lui répondit elle sentait désespéré elle avait du mal à respirer a cause de la fumée qui se répandait autour d'elle l'empêchant d'avancer correctement, Mélodie voyait flou et était au bord de l'évanouissement.

L'ex employée de bureau se rappelait alors de ses amis qui l'avaient attendu au café, elle cherchait son téléphone du regard mais ne le trouvant pas, alors elle décidait d'aller au café qui n'était qu'à 10 minutes à pieds. Les gens qui étaient dans leurs voitures commençaient à sortir en se poussant et en se marchant dessus tels des sauvages. Ils étaient tellement violent entre eux que tout le monde y passait hommes, femmes, enfants, personnes âgées, mouraient sous le poids de cette vague qui déferlait.

Après plus de 10 minutes de bataille pour avancer, Mélodie arrivait enfin devant le café, elle croyait que son cœur allait lâcher la moitié du bâtiment avait disparu l'autre moitié encore debout était en feu, la jeune brune était soulagée en apercevant ses amis à l'entrer du café malgré qu'ils étaient couvèrent d'égratignures. D'autres personnes se trouvaient également un peu partout autour du café ils étaient tous dans des états différents, certains étaient simplement blessé les blessures étaient plus ou moins grave cela dépendait de l'endroit de la blessure. Ou bien certains étaient évanouis assommé par du béton, d'autres parce qu'ils avaient respiré trop de fumée ou encore des malchanceux qui sont morts écrabouillés par les flammes et le toit du bâtiment qui avait cédé sous la force que le vent de l'explosion avait exercé. Elle distinguait également que le vent commençait à se lever de plus en plus fort jusqu'à faire voler et danser les voitures ainsi que diverses objets brulé par les flammes faisant pensé à des lanternes qui brillaient dans la nuit. Les arbres se déracinaient et s'abattaient violemment sur le sol écrasant sous leurs poids de camions des gens qui tentaient de fuir la catastrophe, ceux qui se trouvaient coincés hurlaient à l'unisson pour qu'on les dégager de ce poids qui les compressaient comme des pommes pour faire du jus.

Le calme avant l'effondrementOù les histoires vivent. Découvrez maintenant