Plongez en Californie du Sud à Los Angeles, dans une histoire mystérieuse et intriguante où un homme énigmatique nommé Caleb, fasciné par une jeune femme pour des raisons inconnues, la persuade de rejoindre son organisation secrète. Mais à quel prix...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Los Angeles, Southern California Chez les Stones 08:00 pm
CALEB
Je prends un dernier virage, une fine brise vient effleurer ma nuque lorsque je ralentis pour accéder au portail gris qui me fait face.
Des aboiements retentissent, ce sont ceux de Sirius et Zuko les chiens de garde d'Esther qui sont maintenus par de gros colliers en cuir à picot métalliques ainsi qu'à de larges chaînes métalliques.
Le bruit des chaînes qui s'interchoque se mélangeant aux bruits des dobermans, leur prestance et leur parfaite éducation les rends plus que dangereux pour quiconque souhaiterait s'introduire dans l'organisation.
Si le système d'ouverture du portail ressent un mouvement inhabituel ou une tentative de piratage, dès l'intrusion les chaînes des chiens se détachent automatiquement et la zone se retrouve encerclée par mes snipers en moins de 15 secondes mais aussi par mes hommes armés de mitrailleuses ainsi que de fusils d'assauts prêts à tirer dès que je leurs en donne l'ordre.
C'est étrange elle ne laisse jamais ses chiens seuls lorsqu'elle part en général, ils l'a suivent absolument partout
Absolument partout.
Je me penche désormais pour taper le code d'accès qui déverrouille la reconnaissance oculaire et digitale sur la plaque prévue à cet actif.
En quelques secondes le portail s'ouvre face à moi, j'accélère une dernière fois avant de venir garer ma moto dans le parking sous terrain de l'organisation.
Lorsque la moto se penche légèrement due à la descente je senti ses mains s'agripper un peu plus à mon torse et ce simple et douloureux toucher m'électrise.
Je ne saurais dire si cet effet est dût à elle ou aux profondes lacérations encore fraîches qui traversent de haut en bas un côté de mon buste.
Les risques du métier...
Je sent mon garrot commencer à féblir à cause du sang qui l'imbibe le faisant perdre en étanchéité, ce qui forme peu à peu une tache de sang qui s'élargit sur ma chemise blanche.
Je m'empresse de fermer ma veste de moto avant qu'elle ne remarque cet écart de discrétion.
Pas de faux pas.
— On est arrivés tu peux descendre dis-je à Naïlea en coupant le moteur
— L'organisation j'aurais dû m'en douter me dit elle en descendant de ma moto
