Chapitre 3 - La defaite au coeur de la Victoire.

13 2 4
                                    

Las Vegas, Etats-Unis
4 heures

Je n'arrive pas à dormir, en fait j'ai peur de m'endormir.

Je sais ça peut paraître étrange, mais j'ai peur de le voir lui.

C'est à cause de lui que mes nuits sont remplies de larme, de peur, et de penser.

Et s'il revenait ?

Nan.

J'en ai trop enduré avec lui.

Les heures passer sur le sol, dans les bras de ma mère, en larme, sont suffisantes.

Ok t'en fait pas Kyky, c'est fini...

J'entendis la porte s'ouvrir et puis se refermer. Je me suis levé pour voir qui était entré, c'est Kladen.

Que fait-il là ?

Me veut-il du mal ?

Il s'approche de moi à petit pas et s'assit sur le lit.

On est resté silencieux, pendant de longue minute.

Trop longue minute.

Je me demande s'il va commencer à parler.

- Salut... Commençais-je pour qu'on puisse potentiellement commencer une conversation.

C'est sûr que le silence est cool, mais pas sans contexte.

- J'ai besoin de faire ça, d'accord ? Je te demande de ne pas avoir peur de moi. Il marqua une pause, de quoi il parle ? Puis il continua, je ne peux plus résister, tu es juste beaucoup trop parfaite et attirante. Tu es faite pour moi enfaite.

Ses mots ont une touche de sincérité et de regrets à la fois.

Étrange comme mélange, nan ?

Je ne peux pas m'empêcher de demander ce dont il a besoin.

- Euh... je ne comprends pas tout, de quoi... Et avant que je puisse terminer ma phrase, il écrasa ses lèvres sur les miennes.

Pour le coup, je ne m'attendais absolument pas à ça.

Il me prit par les hanches tandis que moi, je me levais pour m'asseoir sur ses cuisses.

Le baiser était doux, mais ce n'était certainement pas passionné.

Kladen est affreusement bon pour embrasser et putain de sexy.

Le seul problème, c'est que ce n'est pas vraiment sincère.

C'est comme pour... combler un vide ?

Quel vide, espèce de conne ?

Je ne sais pas.

Pensé de cette façon est horrible, mais comment, Veux-tu penser autrement ?

On se sépare un instant avant de reprendre plus sauvagement, nos langues se rencontrèrent et j'ai commencé à passer mes mains en dessous de son tee-shirt.

Il se crispa un instant au contact de mes mains.

Puis je lui ai demandé par le regard s'il m'autorise à enlever son tee-shirt.

Il accepta et je n'ai pas perdu une seconde pour le faire.

Je me suis éloigné un instant juste pour contempler ses abdos.

Et mon Dieu qu'il est bien bâti.

Il ne me laisse pas plus le contempler, et saisie mon visage pour qu'on continue ce qu'on a commencé.

I never falling for the DefeatOù les histoires vivent. Découvrez maintenant