16: Amitié ?

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Pdv Halia
???, ???

Il vient vers moi est dépose une main dans mon dos et derrière mes genoux pour me porter en mode princesse. Une fois dans ses bras je viens mettre les miens autour de son cou. On se regarde dans les yeux et on aurait dis que plus rien était autour de nous.

C'est là que je me suis rappeler qui il était et que je ne sais rien de lui. Mais après pourquoi il me dirait quelque chose de lui ? Après tout je suis sa prisonnière et il est logique qu'il me dise rien vu que je pourrai le répéter. Mais pourquoi je veux connaître des infos sur lui ?

Quand il commence à marcher je sors de mes pensées. Vu que je n'est pas beaucoup de force, je pose ma tête contre son torse. Je commence à somnoler et j'oublie presque la douleur du bout de verre.

Au bout de quelques minutes qui me paraissent des heures, je sens qu'il me pose sur un canapé et j'ouvre doucement les yeux. La lumière me fait mal aux yeux vu que dans la cellule il n'y en a pas.

Je vois que je suis dans le salon et je vois la porte d'entrée. L'idée de m'échapper même blesser me traverse l'esprit mais je ne peux pas courir. Puis même si j'arrive à m'échapper je ne sais pas où je suis et vu que je suis chez un mafieux je pense que la maison est entouré de gardes.

Au bout d'environ 5 minutes, je n'est plus trop la notion du temps, il revient avec une trousse de secours.

Il se place devant moi et ce met à genoux. Ce qui est drôle c'est que même à genoux il est à ma taille ce qui prouve qu'il est grand.

Il commence par retirer le morceau de verre et je me retiens de pas crier de douleur. Je prend un coussin pour mettre ma tête dedans et à l'entente de la respiration du mafieux mon geste le fait rire.
Il désinfecte la coupure et ensuite il met une compresse.

Une fois fini il range tout et je le remercie. Quelle ironie je remercie la personne qui m'a kidnappé.

Quand il revient il s'assoit en face de moi et on se regarde sans pouvoir s'arrêter. Ça me rappelle les moments avec Marco et dès fois je me demande si il pense encore à moi. Est-ce que ma famille c'est que j'ai été kidnappé ?

Je suis tellement dans mes pensées que je remarque même pas le mafieux parler ce qui me vaut une petite claque sur le bras.
A son contact je remonte direct mon regard vers le sien.

- enfin tu me regardes tu pensais à quoi au point de pas m'entendre ?

- rien. Tu disais ?

- on va commencer l'interrogatoire

- est-ce que je peux te poser des questions sur toi ?

- t'as cru on prenait le thé avec les biscuits entre amis ?

- non mais maintenant que je suis là on peut apprendre à se connaître

- tou t'es pas comme les autres ! Tu veux apprendre à me connaître alors que je t'es kidnappé

- bah j'ai envie de savoir au moins ton prénom parce que sinon je te surnomme « le mafieux »

- t'as pas totalement tord mon ange

- tou aussi tu sais pas mon prénom pour m'appeler mon ange

- je sais beaucoup de choses sur toi Halia

- ok. On commence les questions ?

- t'es pressé maintenant ?

Je ne réponds rien car tant que je ne sais pas son prénom je ne dirai rien. Je n'est pas l'intention de dire quelque chose de toute façon.

- tu parles plus ?

- ...

- mon ange réponds avant que je ne m'énerve.

- je ne parle pas aux inconnus.

- d'accord tu veux jouer à ça
Et bien t'as gagné je m'appelle Francesco contente ?

- oui merci maintenant ton âge ?

- t'es trop curieuse. C'est lequel de nous deux qui pose les questions ici ?

- comme tu veux mais je réponds pas.

- t'es agaçante avec un grand caractère. Peux-tu me dire en quoi mon âge t'intéresse ?

- à ce qu'on ne soit plus des inconnus. Tu sais plein de chose sur moi donc autant que se soit dans les deux sens.

Il souffle et me répond quand même. C'est drôle de le voir se " soumettre ".

- j'ai 23 ans, c'est bon ? C'est fini ?

- hmm non. T'as de la famille ? Pourquoi t'es seul ? Pourquoi t'es dans la mafia ?

- Doucement. Je ne vais pas répondre à toutes tes questions parce qu'on est pas là pour ça. Donc maintenant tu m'écoutes

- vas y

- comment s'appelle ton ex ?

- genre tu sais pas son prénom ?!
Dis-je en rigolant

- pourquoi tu ris ? C'est très dur parce qu'il ne laisse rien comme indices.

- nan en vrai c'est test pour savoir si je vais te dire la vérité que tu me poses cette question.

- c'est énervant parce que tu comprends tout je vois que Marco t'as dressé.

- je suis pas un chien et encore moins celui de quelqu'un.

- Bon commençons les vrais questions. Où est sa planque ?

- je ne sais pas.

- tu veux me mentir ? Je pensais qu'on avait passé un stade.

- pourquoi je mentirais ? Je suis consciente de ce que tu peux me faire.

- hmm si tu le dis. Deuxième question, où est-ce qu'il est ?

- en prison

- non il est sorti. Vu ta réponse tu ne sais donc pas où il est. Tu sais quoi sur lui ?

- pas grand chose. Il était comme un mafieux froid et il ne parlait jamais de ses affaires. Au début je ne savais même pas que c'était un mafieux.

- Donc tu ne vas pas pouvoir m'aider. En d'autres termes tu m'es inutile. Qu'est-ce que je vais faire de toi ?

- si tu me laisses partir je ne dirais rien et les autorités ne seront pas prévenu

- le problème c'est que je t'aime bien...

- me dis pas qu'un mafieux tomberait amoureux de moi ?

- je serai le deuxième. Mais t'es trop jeune et faudrait que tu me sois utile dans mon cartel. Donc je sais pas. Tu sais quoi je vais être, pour la première fois, gentil et te laisser le choix : tu préfères intégrer mon cartel ou partir et retrouver ta vie ?

- est-ce que si je choisi le cartel je devrais travailler comme prostitué ?

- bien sûr que non mon ange

- et est-ce que tu voudrais être en couple avec moi ?

- si tu pars non mais si tu restes je ne te promets pas que l'on reste seulement professionnel.

- alors je vais choisir...

A suivre

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Voilà les 2 chapitres

J'aimerais vous remercier de continuer à lire cet histoire

À bientôt 👋

Un changement, une rencontre et tout bascule//terminé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant