Elikya, enchantée.

24 - Liloba.

Good reading.

03h02.

Dans la peau d'Elikya.

La fête battait à son plein. C'était vraiment la fête.

Sa danse, sa chante, on a énormément célébré cette union. Tout se passait comme prévu, comme on l'avait souhaité.

Et sa nous rendait tous heureux de les voir comme ça.

Je quittais la piste pour m'avancer vers la table des cousines d'Amy, histoire de les saluer ect.

J'avais fais les tours des tables pour parler avec un peu tout le monde et tout. Vraiment sympa les humains parfois.

Ornella vient vers moi.

Ornella - Eh Elikya tu peux mettre ses vestes-là dans ma voiture s'il te plaît ? Tiens ma clé. Dit-elle en me tendant la clé et les vestes.

J'hoche la tête et sors de la salle, puis j'me dirigeais vers le parking en face.

Un parking bien blinder j'ai un peu galérer à trouver la voiture.

Quand c'est bon, je dépose les vestes sur la banquette arrière, verrouille la voiture, et me voici faire demi-tour vers la salle.

Quand à quelques mètres de la porte, je me fais interpeller.

? - Eh excuse moi miss.

J'arque un sourcil et me retourne, à ma droite se trouvait le Junior, dont j'ai jamais vraiment parlé.

Toujours avec ses lunettes de soleil d'ailleurs.

Il est grand, noir clair de peau, petit bouc, et des waves qui lui vont bien.

- Oui ?

Il quitte le mur sur lequel il était adossé avec sa canette, et s'approche de moi. Se mettant face à moi.

Junior - C'est toi Elikya non ?

J'hoche la tête.

Junior - T'habitais où avant ? J'ai l'impression de te connaître.

- Euh j'ai toujours habité dans le 93 à Blanc-Mesnil après j'ai déménagé seul dans le 77.

Il fronce les sourcils et retire ses lunettes.

A cette instant-là mes yeux se sont grand ouverts, mon coeur s'était comme emballé. J'ai fais 2 pas de en arrière.

Junior - Putain Elikya..

Je l'ai regardé de haut en bas, avec le coeur qui commençait à palpiter.

Mais comment c'est possible ? Pourquoi je m'en étais pas rendu compte avant ?

Junior - Je t'ai tellement cherché partout, t'étais passé où- En approchant sa main de ma joue.

- Ne me touche pas, ne me touche pas. Dis-je en retirant sa main violemment, la voix tremblante.