( <3 le dixième chapitre 🦖, je vais augmenter les pages car cinq je trouve ça trop peu pour un roman et sachant que ma cadence est lente autant rajouter du pavé )
Jane
J'étais enfin rétablie, j'avais toujours quelques bleus par-ci par-là mais rien de bien grave. Heureusement cette chute "accidentelle" ne m'avais pas tué. Est ce que mon père aurait été triste ?
C'est des questions auquel je n'aurai sans doute jamais de réponse sauf s'il était menacé.
Clay m'avait envoyé un message, je l'avais lu bien évidemment au moins trois fois. Pourquoi un gars dans son genre s'intéressait t'il à moi de la sorte.
Ma vie n'était pas vraiment palpitante, juste douloureuse, oui c'est ça douloureuse. Je me demandais aussi pourquoi, Ray et Jacob avaient accepté d'être mes amis.
Si mon père n'en avait rien à faire de moi, pourquoi d'autre s'intéresseraient-ils ? J'était juste la fille qui servait de sac de frac à son géniteur.
Pourquoi maman était-elle partie ? Pourquoi m'avait-elle fait ça ?
J'était sa fille, sa précieuse petite fille... la sienne... Pourquoi m'abandonner de la sorte avec un père violant ?
Je voulais juste un peu de répits à tout ça, je savais me battre mais ce n'était pas efficace face à mon père. Il était juste trop fort, et moi, trop fragile... Fragile émotionnellement et mentalement.Une larme dévala ma joue, je l'essuyai d'un coup de manche de sweat.
Je remerciai l'inventeur de cette merveilleuse chose, c'est si douillet que je ne pourrais jamais m'en passer.
J'étais partie chez Jacob pour cohabiter avec lui environ une semaine tout au plus.
Je n'avais pas revu ma mère depuis ma sortie, elle devait se sentir coupable du moins pas assez pour aller voir la police." Je l'aime tu comprends ". Non je ne comprend pas, il...
J'abandonnais la bataille entre mon cœur et mon cerveau pour appeler un taxis.
Je devais bien retourner en cours un de ces jours, même si mon lit me tentait plus.
Dormir ou ne pas dormir tel est la question, et ma réponse était déjà toute réfléchit. J'aillais bien évidemment dormir.
Une semaine que j'avais comme disparu, ma belle-mère avait essayé de m'appeler, mais je n'avais pas répondu. Je savais que c'était pour s'excuser ,puis ensuite rigoler une fois que je serai de retour dans cette maudite maison.18 ans ? dix-huit ans ? J'avais dix huit ans, j'étais majeur.
La liberté était pour moi je suppose, qui aurait cru que je serai encore dans cette situation à un tel âge.
J'était fatiguée de me laisser faire, c'était le moment parfait pour agir.je fis un signe au taxis, puis montai.
Mais un problème restait de mise, l'argent. J'en avais économisé un peu mais pas assez pour me payer un appartement. Si, je revenais, je me mettais en danger bêtement. Bon j'y réfléchirais sans doute plus tard, Jacob devait m'attendre.
Le taxis s'arrêta à l'adresse que je lui avais donné, Jacob avait les moyens pour se payer un belle appartement. Jamais, je n'aurai cette occasion, j'en étais sûre. Je tapais le code puis entré dans le grand bâtiment, 5 ème étage vers la droite, numéro... 12 oui c'est ça !
Il m'avait passé les clés, je le remerciais fort par ailleurs, l'attendre aurait été la pire erreur que j'aurais pu faire. Il rentrait à des horaires aléatoire, pour lui 10h du matin, c'était pareil que 22h. Une chauve-souris, oui, c'était une chauve-souris... Ou un papillon de nuit mixer avec un papillon de jour. Un papijour de nuit !
Un bac + 5 en invention et investissement, j'attends les applaudissements pour la trouvaille !J'étais fatiguée, mon objectif trouver le lit ou quelque chose qui y ressemblait pour roupiller comme un ours qui hiberner. Je fais partie de leurs familles, c'est un mensonge que de dire que l'on descend des singes, moi je descends des paresseux. Je me demandais quand même comment mes amis pouvaient me supporter, le courage, ça devait être ça... Oui c'était ça !
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BROKEN
RomanceEN COURS ....✨ C'est l'histoire d'une femme tracé au fer à cheval par son passé, qui cherche à se reconstruire loin de celui-ci. Elle va finir par faire une rencontre inattendue avec un charmant bad-boy tout autant brisé de l'intérieur, ils ne save...