The Deviant

Le Grand, Le Beau

« Journal de bord, Jour 18.
Encore Alex, rien de très intéressant ne c'est passé, comme depuis dix jours. Nous avons donc pu identifier 7% de la faune de la planète et 3% de la flore local. Nous avançons vite. La plupart est comestible, sauf les plantes carnivores et les Grand Troncs, qui sont donc des arbres avec d'énormes tronc, qui cherchent à vous piéger. Ha oui, et nous avons découvert le Franc'osaure, un poisson qui porte le nom de la personne qui l'a découvert. Il est extrêmement agressif et dangereux puisque il a des pics de partout. Dans chacun de ses pics coule un venin qui vous tue en une minutes, en vous faisant souffrir et avec aucun moyen de vous soigner.
Fin de transmission,
Alexandre Dempsey,
Le 20 août 2208, depuis La Déviante »
Aujourd'hui, je vais retourner chercher les caméras grâce au pouvoir utilisé la dernière fois. Je pourrais enfin avoir une idée approximative du comportement classique des animaux commun. Je me suis aussi fait une petite idée de qui pourrait être le traître, mais toujours pas le mobile. Je peut au moins innocenter Navïs car elle est toujours avec moi, lorsque les pannes arrivent. C'est déjà ça de gagner. Mais je pense qu'il s'agit de...
Un cris retentit alors devant moi. J'accéléra afin de rejoindre la source de ce vacarme le plus rapidement possible. Sur les lieux, une scène assez étrange : un être humanoïde, bipèdes, était entouré pas des Poissons Terrestres, des sorte de rasscasses, qui vivent sur la terre ferme. Ils sont peu agressifs, sauf lorsque ils sont en grands groupes et affamés, ce qui devait être le cas. Je décida d'intervenir. Depuis les aires, je lança des flammes sur touts les Poissons Terrestres. Au moins, nous aurions de quoi manger ce soir, je me suis dit. Mais la priorité est l'humanoïde au milieu de la clairière. En le voyant descendre, il se redressa, et m'adressa la parole dans un français parfait :
« Bienvenue sur La Déviante, habitant de la Terre et de l'Astéroïde 42 »
« Comment... ? Pourquoi... ? »
« Toutes les questions finissent pas avoir une réponse... Tu la connaîtra en temps voulus, jeune humains. »
Puis il disparu dans le feuillage.
Je fini de récupérer les caméras, sans arriver à le revoir. En rentrant, je n'ai parlé de cette événement qu'à Navïs, puisque j'ai complètement confiance en elle.
En allant chercher de quoi manger, nous sommes tombés sur une horde de singe, enfin des animaux s'apparentant très fortement au singe, la seule chose qui changeais, c'était les quatre bois sur leur petit crâne. Je dis à Navïs :
« Tu penses que ça ce mange ? On voit qui en attrape le plus ? »
« Ok ! » répondit-elle déterminé.
Je sauta sur l'un d'eux, et lui découpa la nuque proprement. Les autres ce mirent à fuir, et je m'élança à leur poursuite. Navïs, était resté et je ne savais pas ce qu'elle faisait. C'est pas grave, c'est moi qui vaut gagner, pensai-je.
J'en tua trois, et m'arrêta. De la, je pouvais voir... une ville miniature, ou beaucoup de ces singes vivaient. D'un seul coup, plusieurs individus me sautèrent dessus depuis des branchages, m'assommèrent, puis plus rien.

Je reçu de l'eau sur la tête. Puis quelques baffes. En ouvrant les yeux, je vis devant moi une grosse bête assez étrange, comme un énorme cafard qui marche sur deux pattes et qui a du pelage. Et des crocs, de très grands crocs. Tout allait très vite dans ma tête : où était-je ? Qui était ce grand cafard ? Le Roi des Singes, dominant de cette planète ? Étaient-ils aussi évolués que nous ? La seul chose que je pouvais voir, c'était cet immonde monstre, deux des singes aux bois, et des murs en pierre. J'étais assis sur une souche, ligoté au main et enchaîné au sol. Ils savaient donc forger des objets. D'un français hésitant et avec un fort accent, le monstres s'adressa à moi :
« Étranger, toi dire pourquoi venir sur planète notre. Parler ou elle mourir » Il désigna Navïs, que je n'avais pas vu. Elle faisait quelque chose dans son dos, je ne sais pas quoi. Mes armes n'étaient pas dans la pièce. Ou du moins, les katanas, car mon pistolet était à ma ceinture. Et j'avais aussi mes flammes. Navïs avait du comprendre car elle imita le bruit d'un embrasement. Je lui fis oui de la tête.
« Toi parler !! » Cria le Roi.
« Nous venons en paix, nous venons voir si les humains, ma race, peuvent vivre sur cette planète. J'espère que cela ne dérange pas votre Majesté. Sinon, nous partirons immédiatement. » proposais-je.
« Moi pas Roi ici. Moi être lieutenant du Grand, du Beau Pollux. Lui arriver dans pas longtemps. Vous attendre ici. Garde devant porte, vous pas essayer de sortir sinon nous tuer vous. » dit-il.
Un dois qu'ils étaient sorti, je pus parler librement a Navïs :
« Je suis curieux de voir qui est ce Pollux. J'ai toujours mon arme de poings, mais je n'ai pas mes lames. Tu sais où elles sont ? Il y a un puce au milieu du manche. »
Elle regarda autour d'elle, et finalement, dit :
« Elles sont juste au dessus de nous. Je pourrais les attirer, si tu veut. Ha oui, et je suis en train de faire une arme automatique et des munitions. Elle est repliable, c'est pour ça que tu ne la vois pas. »
« Tu me surprendra toujours toi, rigolais-je. Mais tu ne veut pas qu'on fasse un sortie, disons, spectaculaire ? »
« Comment ça ? » me répondit Navïs.
« Une petite explosion, je récupère mes katanas et on brûle un max de truc ? Après qu'on est vu Pollux de nos yeux évidemment ».
« Ça me va ! » s'excita-elle.
Un tremblement violent eux lieux, comme si un météore était tombé peu loin de nous. Puis, une voix grave s'éleva, de partout et nul part en même temps, comme si c'était absolument tout les atomes de la pièce qui parlaient d'une seule et même voix :
« Alors comme ça, on essaye de s'enfuir ? Les intrus que tu as capturés semble réticents, mon lieutenant »
« Pardonnez moi, Majestueux, Grand et Beau Pollux, Maître suprême de l'univers. Je suis sincèrement navré. » dit le lieutenant avec une voix aiguë et apeuré.

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Merci pour votre lecture ! C'est ma première histoire, donc soyez indulgent sur les fautes d'orthographes ou de grammaires. Mais n'hésitez pas à me les rapporter en commentaires !!

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