Mixed feelings (TOME 1)

14

14 ème chapitre comme prévu.

Spécial: Fugue ...

     Pov:María Rosa 🌹

-Non mais tu vois aussi comment elle te traite non ? Et toi tu continues à la défendre à espérer qu'elle redevienne amie avec toi .

C'était la voix de Selena que j'entendais en pleine discussion dans la cuisine avec mon ancienne meilleure amie .

-Comprend-la aussi ,me voir avec Alexandra qui est la sœur de notre patron ça l'a mis en colère.  Répond Paulina d'une petite voix

-Elle est juste jalouse que t'aies trouvé quelqu'un qui t'aimes en plus de ça tu sors avec la sœur du patron comme tu viens de le dire c'est un jackpot. Rétorque Selena avec sa voix de pute.

En réalité j'avais aucune envie de me battre avec elles. Puisque dans quelques heures je m'en vais.

À mon plan c'est à ca que je devais penser.

Alors le plus naturellement possible j'entre dans la cuisine sans un regard vers elles même si je sentais les leurs.

Le bruit de leur pas qui s'éloignaient me fait savoir qu'elles ont quitté la cuisine.

Je prends trois jus , des chips ,trois yaourts, des bonbons, des chocolats et les mets dans un sachet.

Faut s'approvisionner quand même.

Finie de faire ça.

Je remonte dans ma chambre .

Je regarde ma montre et vois qu'il était onze heures.

La majorité des gardes étaient déjà dans le manoir là où séjournaient les jumeaux.

En regardant à ma fenêtre je vois qu'il y avait trois gardes seulement.

Puis un d'entre eux ouvrit la barrière pour laisser entrer un camion.

Celui des ordures.

Vais-je vraiment entrer dans un camion d'ordures pour m'enfuir?

La réponse est évidemment oui.

Je descends doucement les escaliers avec mon petit sac sur le dos.

Le chauffeur du camion escorté par les gardes entrepris de mettre les déchets dans le camion.

Comme il y avait déjà d'autres déchets dans celui-ci.

J'entre à l'intérieur et mis d'autres sachets sur moi qui puait de malade.

Mais c'est de ma liberté qu'il s'agit.

Le chauffeur terminé. Il monte dans le camion et démarre.

Mon cœur il battait la chamade.

Ce camion m'emmenait sur le premier pas de ma liberté.

Après une heure de temps de route si je peux me fier à l'agitation que j'entendais,  ce qui veut dire que je suis loin du manoir .

Je m'autorisai à respirer.

Je ne voyais pas ce qui se passait dehors mais mes autres sens étaient en éveille du moindre choses.

Je me demandais même s'ils ont déjà remarqué mon absence.

Mais je n'étais pas sûre.

Le chauffeur arrêta le camion et descendit.

Et c'était l'heure pour moi de partir ,alors je le laissai s'éloigner du camion et descends aussi de celui-ci.

J'avais devant moi un petit restaurant.