Assoupie sur cette fine herbes verte
Qui donnait au ciel une couleur d'espoir
Sous cette grisaille abondante, je me sentais lourde
D'une lourdeur plus intense que les pensées qui me traverse l'esprit en ce moment
La chaleur du soleil traverser ma peau tout le long de mon corps etendue sur cette douce herbes verte
J'appercevais la vie autour, la vie qui bougeait
La vie qui tournait tout autour de moi, laissant derrière elle le temps qui s'écoule
Ce temps qui s'écoule lentement et laisse un goût amer à ces souvenirs passé
Bercé par la chaleur du soleil et le son de la vie, je me laissait transporté dans cet univers de mots qui me faisait voyager
Je lisais.
Couché face au ciel, posée sur le sol, m'enfonçant dans la terre ainsi que dans mes pensées jusqu'à me perdre
Le chemin jusqu'à la réalité était long, agréable et reposant je me sentais revenir lentement
Dans ce jardin ensoleillé me comblant désormais par ses milles douceurs
Je me levais et contemplait se coucher de soleil sur ces arbres qui n'était plus que des ombres tapis sous ce voile
La nuit épaisses m'étais tombé dessus pendant mon long et silencieux chemin de réflexion
Je repartait ainsi, ces belles images en tête, ces douces paroles à l'esprit
Et mon cœur, bien moin lourd à porter qu'à mon arrivée