-"Offrez moi deux sacrifices."
La panique dans la salle s'arrête aussitôt que Mélinda hausse la voix pour partager sa découverte. Le silence complet s'en suit de confusion et de pleurs de terreur. Des débats agressifs et sans pitié se déclenchent. Mais ils cessent lorsque l'entièreté des personnes réunis se tournent tous vers moi simultanément. Je rétracte mon dos pour me faire tout petit. J'aurais dû me douter que je serais le premier que les gens voudraient voir mort. Je ne suis qu'un meurtrier, un psychopathe sans cœur. Je déteste la sensation que provoque autant de yeux rivés sur moi. Je couvre mon visage avec mes mains pour que personne ne me vois verser des larmes comme le pathétique monstre que je suis. Un sons aigus parvient à mon oreille. Un bruit de statique comme lorsque votre père vous laisse fondre dans une chambre verrouillé avec la télévision allumé pendant plusieurs jours consécutifs. Le bruit de l'isolation. Ou plutôt du contraire: La sensation de toujours être observer et de vouloir se cacher. J'aimerais m'enfuir mais aucun chemin ne s'offre à moi. Je suis coincer. Et le pire dans cette histoire est que je ne peux pas les blâmer. Adieux tout le monde.
-J'y vais avec lui!
Des bruits de pas se font entendre dans la salle. Je sèche rapidement mes larme en essayant de retenir celles qui veulent sortir, curieux de savoir de qui il s'agis. Des regards dégoûter font soudainement fureurs. Noa leur fait des grimaces, déçu que son acte héroïque n'ai éblouie personne. Enfin... héroïque est un grand mot. Noa est bien connue pour se sauver de tout les fois où il a foutu la merde avec son Immortalité, sinon, son décès serais arriver depuis bien longtemps. La haine des gens viennent aussi du fait qu'il sois meilleur ami avec la créatrice de cet univers. Contrairement à moi, l'opinion des autres ne semble pas l'affecter. Enfait, il est enthousiasme à l'idée de recevoir de l'attention, même si elle est négative. Il s'avance aux côtés de Melinda et m'observe intensément. Il attend patiemment (non) que je le rejoigne. Je me fait tirer par le bras puis pousser en avant.