Ruelle sombre

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Dans la plus grande noirceur de cette nuit
Mon coeur l'a aussi absorbé telle une envie,
De faire le mal autour de moi sans un bruit,
Me rapprochant de cette ruelle sans vie.
Une ombre au loin attisant alors ma curiosité,
Je marche doucement arrivant à pas feutré.
Silhouette au belles formes de sexe féminin,
Je me retiens de ma pulsion couteau à la main,
Le plaisir ne serait que de courte durée,
L'imaginant directement la gorge tranchée.
Je pris sa tête la claquant violement sur le mur,
La tirant par la cheveux afin qu"elle croise mon regard,
J'aime cette terreur qui se dresse cette peur,
Cette petit bouille d'amour avec le regard hagard.
Telle une marionette sous commande je saisi
Ce couteau aiguisé le plantant soudainement,
Dans le blanc de ses yeux début de l'hémorragie
Ce liquide vital coule a flot tellement bandant.
Elle retire alors le couteau l'oeil sur la pointe,
Je la laisse courrir dans cette ruelle sans issue
La prenant par la gorge son oeil suinte,
De larme de détresse elle s'est pissé dessus.
D'une soudaine furie j'enfoncai mon pouce,
Dans l'oeil restant par petites secousses.
Son corps s'est effondré sans aucune resistance,
Maintenant il pleut dans mon coeur est revenu dans le silence.

Le Manoir De L'horreurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant