9: revendication

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Les troupes de Lebrac revenait au village à la fois tout contents et irrités, il faut bien avouer que courir dans des champs de blé, nu comme un 🪱 n'était pas la choses la plus agréable à faire.
Entre les griffes et les piqures de moustiques ou de bébêtes des champs, les jambes des garçons étaient bien enflammées.

-Lebrac, j'en ai marre de tes plans foireux. SÉRIEUX quoi? Se battre à poil mais regarde nous un peu...
-bah quoi bacaillé ! Tu t'es fait bobo et tu veux pleurer comme le gros bébé que tu es ?
-non Lebrac, il a raison en plus, les filles ne peuvent même pas venir avec nous. Dit Grand gibus
-Ok, ok bon j'ai une idée pour vous détendre
-non on a dit qu'on voulait plus tes idées à la noix
Camus se mit rapidement en face de bacaillé, et le regarda durement avec de lui dire/
-tu vas te calmer bacaillé, c'est au chef que tu parles.
-on t'écoute Lebrac ? Dirent les autres
-on va construire un repère, un cabane qui sera notre QG
-UNE CABANE ?
-UN TRUC RIEN QU'A NOUS ?
-OH OUIII
Toute la bande était rempli d'impatience.
-BONNE IDÉE LEBRAC!
-je sais, je sais et après on va faire une...
-UNE ÉNORME FÊTE dirent en coeur tintin et grand gibus, déjà entrain de se projeter en train de fumer du cigare et de boire de l'alcool
-il y aura des chocolats ?
-de la barba papa ?
-des POMMES D'AMOUR ?
-du cigare et de l'alcool ?
-OUI et il y aura même des filles lança Lebrac en regardant les filles du village qui s'était déjà rapproché pour écouter la conversation.
-ça vous a les filles ?
-avec plaisir lancèrent-elle
Octavie fit un pouce en l'air ! Bacaillé regarda perplexe Lebrac...
-mais Lebrac où tu vas trouvé l'argent pour faire ça ?
-oui c'est vrai
-il a raison
-comme on va faire ?
-et bien c'est simple, on va faire comme nos darons avant, on va travailler
-MAIS LEBRAC, on travaille déjà assez comme ça
-laisse Lebrac continuer rappela à l'ordre Camus
-merci Camus, vendredi, il y'a la foire au marché on pourra y vendre chose, si tout le monde y met du sien, on devrait y arriver
-tu penses que c'est faisable Lacrique ?
-oui oui je dirais même que c'est parfait comme plan, tu deviens intelligent Lebrac.
-et la fête on la fait quand
-DIMANCHE !
-oui après la messe alors !
-oh non Lacrique dit Lebrac
-pendant la messe haha rigolèrent Grandgibus, Camus et tintin
Tous se regardèrent, avec excitation. Une fête, c'est génial et bien mérité selon eux.
Ce fut cependant au tour de Thomas de parler:
-oui mais où tu vas faire construire la cabane
j'ai une idée, au tracteur LEBRAC

Alors que la bande s'apprêtait à partir Peti'gibus arriva tout nu avec les coui**e cacher par une énorme feuille.
-vous êtes fous, vous m'avez oublié
Sur ce le groupe partit en rigolant.

*du coté de Lanterne*

Lanterne courrait à perdre l'haleine, les joues humides et le cerveau en bouillie.
'Vite, je dois aller plus vite, donny, qu'est ce qu'ils vont te faire?'
Elle se prit les pieds dans une racine d'arbre et tomba tête la première dans la boue. Mais elle s'en foutait bien pas mal.
Son objectif était simple retrouver Lebrac au plus vite, rien d'autre ne comptait.
Elle n'avait presque plus de force, ses jambes tremblait et menacer de la faire tomber à tout instant. Quand elle rentra dans le village, elle cria tout simplement.
Tant pis pour les adultes, il faut trouver Lebrac sinon je redoute le pire.
Donny courage, je t'en supplie Lebrac tu es où. Pas là, pas ici, encore raté mais punaise
-LEBRAAAAAACC
Non Lanterne ressaisit toi ton amie à besoin de toi
-LEBRAAAACC
Peut-être que camus est
-CAMUSSSS
Encore une mauvaise rue, devant l'école non plus, pas chez lui, pas devant l'église mais bon sang où est-ce qu'il sont?
-LEBRACC
Merde ma voix à craquer.
-pourquoi tu cris comme ça la lanterne
C'est Octavie !
-mais tu pleures qu'est-ce qu'il y'a ?
-donny ?
-Q-QUOI donny ?
-En-e-enlevée par les v-vel-ran...LEBRAC
-TU PLAISAnTEs, lebrac est au tracteur
On hoche de la tête et on se met au courir sans se soucier de quoi que se soit d'autre. Elle a comprit à quel point c'était la merde.
Donny, je suis sincèrement désolée
Désolée
Désolée
Pardonne-moi, on aurait pas gagné à deux contre eux...

*du coté des mecs*
Lebrac était occupé à donner des ordres: toi fait ça, toi fait si. En une demie heure, le travail avait déjà bien commencer, tout le monde était occupé.
Tout le monde rigolait et faisait des plan sur la comète concernant la soirée de Dimanche
-Faudra pas oublié de le dire à lanterne et à donny dit Lacrique à l'intention de certains jeunes hommes
-je le dirais ce soir à donny même si je doute qu'elle puisse venir dit Thomas
-comment ça ? Questionna Camus soudainement intéressé
-et bien Francis l'en empêchera sûrement c'est ça que je veux dire
-ah oui, on l'aidera à venir en douce au pire et moi je me chargerai de le dire en rentrant à la maison à lanterne
-oui Tintin, d'ailleurs, vous pensez elles ont fait quoi durant qu'on était à la guerre ?
-sûrement qu'elles ont parler couture
Tout le monde regarda Gambette perplexe
-tu es sur que tu connais Lanterne et donny ?
-bah quoi peut-être qu'elles ont parler de garçon alors, les filles, ça aime bien parler de ça non ?
-j'espère pas, c'est pas contre vous mais ça finira certainement mal une histoire d'amour avec ma sœur
-Donny est si compliqué que ça ?
-toutes les filles sont compliqués
-non ma sœur est compliqué par rapport à autre ...
Thomas fut coupé par un hurlement:
-LEBRAAAC
Toute la bande se leva rapidement.
-c'est la voix de lanterne
Lebrac eut alors l'impression que son cœur menaçait de lâcher.
-là, il y'a lanterne ave-avec Octavie ?
-Pourquoi Octavie l'aide à courir ?
-Petite sœur, tu m'explique ce que tu fait avec plein de bout sur tes vêtements et ton visage ?
Lebrac ne perdit pas une minute et s'avança droit vers elle. Lanterne n'eut pas le temps de dire ou faire quoi que se soit que Lebrac lui prit le visage entourant celui-ci de ses mains charmeuse à cause de son travail.
-tu-tu pleures ?
-pourquoi tu pleures, on t'as fait du mal petite sœur dit le moins avant que j'étripe quelqu'un
La rage et la tension monta et l'atmosphère changea en quelques secondes
-l'Aztec à Donny.
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Sans perdre une seconde, fonçant dans le tas, le groupe s'avançât à une vitesse fulgurante dans la forêt.
La peur formant une boule dans l'estomac de Camus et Lebrac.
Thomas ne savait pas encore à quel point les velrans n'avait aucun honneur et aucune valeur.
Tous redoutait le pire.
Mais ce n'est pas eux qui trouvèrent Donny en premier, mais bien donny qui les trouva.
-Donny....

Donny, donne moi tes boutonsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant