Je m'assoie et bois un peu de l'eau que j'avais apporter. Je suis essoufflé, après avoir couru pendant plus de 30 minutes. Chaque week-end, je prends un peu de mon temps pour faire du sport. La routine est la même tous les week-end.
Je rentra à la maison quelques minutes après puis j'entra aussitôt sous la douche. La maison est si ennuyeux, alors l'idée m'est passer à la tête d'aller au travail. J'écouta mon instint, et j'y suis aller. Le travail était silencieux, il n'y avait presque personne, sauf les personnes qui n'avaient pas pris le samedi pour leur jour de congé. Parmi ces personnes il y avaient, la secrétaire Laura. Qui comme d'habitude étaient très dévoué à son travail, elle n'a même pas un seul jour de congé, sauf le dimanche car elle vas souvent à l'église mais s'assurer quand même de passer après. J'avoue que c'est la principale raison du fait qu'elle est ma secrétaire. Je la vois assise dans son bureau très concentrer sur son travail. Je toqua à la porte.
_Qui est-ce? Questionne-t-elle, les yeux toujours concentré sur l'ordinateur.
Elle prend quelques seconde d'attention puis leva les yeux vers les vitres de son bureau. Quand elle s'aperçu que c'est moi. Elle se leva aussitôt de sa chaise, pour m'ouvrir la porte.
_Bonjour monsieur James. Me salua-t-elle après qu'elle m'ouvrit la porte et me fît signe d'entrée.
_Bonjour mademoiselle Laura. Je vous ai pas demander de venir m'ouvrir, juste si je pouvais entrer. Dis-je vouloir la faire comprendre la situation.
_Mais ça ne me dérange pas, vous êtes mon patron, c'est mon devoir. Ses mots accompagner d'un bef sourire avec ses fosettes qui la va à merveille .
Je l'ai toujours remarquer, mais je n'ai pas trop prêté attention. Elle est d'une beauté remarquable. Je ne l'ai jugé que pour ses compétences, non sa beauté impassable, sa forme très arrondi, sa couleur attrirer sur le chocolat bref... Elle est juste très séduisante.Je mentirai si je disais qu'elle ne mattire pas, mais pas autant que ça le devrait. Pour une jolie femme comme elle, dans le même âge que moi, elle est un peu plus jeune, 28 ans je crois. Ne pas s'intéresser à elle jusqu'à ce qu'un nouveau me le prend, alors qu'on se connaissait depuis le lycée.
Elle me fît signe de m'assoire.
-Voulez-vous un verre d'eau, un café, du thé monsieur? Me questionne-elle, l'air un peu tendu.
- Je sais pas, tout me va. La répondis-je, il me semble que vous soyez un peu tendu lorsque vous êtes en ma présence.
- Bien sûr que non monsieur, c'est juste une forme de formalité monsieur. Dit-elle, ne suffisant pas à assouvir mes doutes.
- Je l'espère, je viens d'y réfléchir, je veux bien une tasse de café. La demandais-je toute en m'asseyant sur la chaise devant son bureau la faisant pivoter de droite à gauche.
- Oui monsieur, je vous l'apporterai dans quelques minutes.
Je l'attenda dans le bureau, je me leva de la chaise, quand une certaine photo attira mon attention. Je me faufila derrière son bureau, pour voir une photo d'une femme et un bébé dans ses bras, devant CTRO, plus précisément devant mon entreprise. Elle semble tellement être heureuse, son regard accentuer sur son enfant. Elle est si heureuse, me suis dis-je. Cette photo me fait penser à Cathryne, comment elle sera si on avaient garder ce bébé?
Je laissa couler quelque mes larmes. Mais je les essuya rapidement lorsque ma secrétaire Laura entra dans la pièce.
-Vous êtes sur un lieu de travail, je pense que c'est assez inapproprié de mettre ce genre de photo dans un bureau. La faisais-je la remarque.
- Oui monsieur, je ferai attention la prochaine fois. Dit-elle toute en s'empressant de prendre la photo et de le mettre dans son sac.
- C'est qui ? La questionnais-je, pour assouvir ma curiosité.
-C'est ma sœur. Elle a accoucher l'année dernière. Répond-elle.
-je vois, merci pour le café je le boirai une prochaine fois.
-Oui monsieur, ce fût un plaisir.
Je n'ai même pas eu le temps d'entrer dans mon bureau. La journée a assez mal commencé comme ça. Je me dirigea vers l'ascenseur, quelque personne sorta de celle-ci. J'entra dans l'ascenseur.
J'étais seul dans l'ascenseur, j'en profite pour m'appuyer contre les parois de celle-ci, j'en pouvais plus. J'étais comme poursuivi, ça me suivais partout.
Je sursauta lorsque les portes de l'ascenseur s'ouvrit. Je me remis vite sur pied et sorta dans l'ascenseur. Je ne voyais rien autour de moi, j'étais perdu. J'avais besoin de me détendre, car j'étais en train de faire une crise de panique.
J'avais besoin d'une personne pour partager la souffrance que cette avortement a pût me faire éprouver.
Je sorta de l'immeuble sans même que je le sache. J'avais qu'une idée en tête allez dans un club, une chose du genre, pour relacher la pression. Le club dont j'avais l'habitude d'aller n'est pas ouverte cette heure-ci.
Je passa au parc de jeu qui était justement sur ma route. J'étais éblouis par l'ambiance qui s'y trouvait, les enfants étaient tellement joyeux, il ne se souciaient de rien, sauf de la pluie qui semblait bientôt venir s'y installer. Ils étaient tous contents de se moment, jouant à tout sorte de jeu avec leurs amis. C'est tellement facile l'enfance, ils viennent à peine de se connaître mais leurs amitiés semble telement forts comme si ils se connaissait depuis des mois.
Quand aux adultes ils se contentaient de parler de leurs vies, certains sont perdu dans leur portable et d'autres surveillent sans lacher des yeux leurs enfants. En résumé c'était une moment qui se passait en famille, se sera très ennuyant de venir ici sans personne, sans amis, sans famille. Mais moi je n'avais aucun d'eux.
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LA RÊVERIE DU RENARD
Roman d'amour"Je le veux." Une phrase si simple de seulement trois mots, je me le répète sans cesse , qu'avait-il de si compliquer à dire? On dit souvent que si on n'a pas d'objectifs, de rêve c'est comme partir en mer sans gouvernail, mais moi, dans mon cas j...