Chapitre 4

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PDV Sakurako:

-Tu ne trouve pas que ça sent le poison... Je demande doucement à Mao Mao, l'odeur me rappelle celle qu'il y avait parfois dans certaines maison close après un suicide collectif entre le client et une de nos concubines, c'est presque la même, et je sais précisément quel genre de poison est utilisé, puisque c'est moi qui était appeller avec de temps en temps pour confimer leurs morts ou bien pour les sauver, dans le cas contraire... L'odeur est vraiment désagréable...

-Non, répondit Mao Mao, cette concubine n'avait pas d'ennemis... Pas que je sache, du moins, elle semblait vivre une très belle vie, et avait visible pas mal d'amie au du palais, du moins, c'est ce que dit le rapport que Jinshi m'a donné à lire...

-Oui, mais, si c'était un suicide? On ne peut pas éliminer cette hypotèse... Tout est possible dans cette endroit horrible. C'est exactement comme au quartiers des plaisirs... Je marmonne pour moi même.

-Je ne pense pas que...

-Quoi alors, la coupa Sakurako qui s'approcha de la malade, et puis, cela fait combien de temps qu'elle est ainsi?

-Je dirais une semaine, deux, peut être...Au début, ces suivante ne l'on pas remarquer, elle avait juste l'air plus fatiguée que d'habitude, et elle était plus pâle, mais son comportement est resté le même jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus se lever un matin.

-C'est peut être de la belladone qu'elle a mangé, mais en petite quantité, c'est le genre de chose qui est très priser par les prostituées des maisons closes pour mettre fin à leur vie... Je ne pense pas qu'elle en ai assez ingérer pour mourir, si nous agissons rapidement, on peut la sauver, j'ai bon espoir !

Beaucoup de personnes se donnaient la mort en mangeant du poison, mais, elle était heureuse, pourtant, d'après le rapport, avant de tomber malade, qu'est ce qui avait bien pu la pousser à vouloir ainsi mettre fin à ses jour de manière aussi brutale ? Et douloureuse d'ailleurs, la mort par poison est une mort assez violente...

Et puis, souhait-on vraiment la mort, ou plutôt, est ce vraiment quelque chose que l'on peut se permettre de souhaiter, ceux que l'on laisse sont dévastés par la tristesse, le chagrin, la mort n'est là que pour nous rappeler l'importance de la vie, même si on souffre, il faut vivre, je comprends que l'on puisse avoir si mal que l'on voudrait mourir pour se libérer de cette douleur, pour que la souffrance disparaisse, mais, je ne comprends pas que l'on veuille mourir alors que tout dans notre vie n'est que facilité et joie, comme pour elle, c'est injuste pour ceux qui souffre réellement, c'est irrespectueux, pour eux, mais aussi pour nos parents qui ont aussi consentis a beaucoup de choses, qui ont perdus beaucoup aussi, pour nous élever correctement, vouloir la mort c'est refuser la vie, et refuser la vie, c'est être stupide, quand on a la chance d'être né avec une cuillère en argent dans la bouche, on fait au moins l'effort de ne pas se suicider... (nda: oui, je suis énervée...).

C'était forcement une tentative d'empoisonnement, il n'y a pas d'autres solutions, et je sais que Mao Mao le sait, mais je crois qu'elle préfèrerait ne PAS le savoir justement, pour éviter les ennuis et je pense que c'est le mieux à faire si on ne veut pas nous retrouver priver de tête...

-A quoi tu penses? demanda Mao Mao

A ta mère en slip qui fait de la luge, pourquoi???

-Je me dit juste que quelqu'un a bien du lui vendre la belladone, n'est ce pas?

-Tu pense a un apothicaire, je ne crois pas que ce soit une bonne idée de chercher ce qui c'est vraiment passer, soignons la juste, c'est plus prudent.

-Bien, si tu le veux, commençons à présent, il ne faut pas perdre de temps.

Désolée pour le retard de ce chapitre TT

Pour la photo en haut, il s'agit de belladone, C'EST UN POISON VIOLENT, si vous voyez ce genre baies, n'y touchez surtout pas à moins que vous souhaitiez rejoindre vos ancêtres.

La goûteuse impériale [EN RÉECRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant